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Une large Winch-Lorraine.
Rien que l'idée de repenser à ce film pour écrire une critique, ça me fait téter du petit lait par le fion. Donc je met juste le titre.
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le 16 févr. 2011
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Largo Winch II par Brice B
C'est vrai, je suis bon public. Je reste insensible à beaucoup de "grands films" que certains considèrent comme des classiques du 7e art, et je ressors extatique après des films que la grande majorité considère bien volontiers comme débiles.
Largo Winch, j'avais déjà pu l'apprécier avec le premier volet, est une franchise tricolore qui n'a rien à envier à d'autres productions américaines de sa gamme. Et si on peut effectivement trouver que le scénario est un peu trop prévisible ou que Sharon Stone n'arrive plus à décoller de la carte Catherine Tramell de Basic Instinct, on ne pourra que tomber d'accord sur ce sourire malicieux de Tomer Sisley qui réveille les hormones comme personne.
Un film musclé, qui ne fait pas le dos rond à une histoire de fond, et dont les scènes d'action sont burnées comme on les aime.
Vraiment, on ne me fera pas dire du mal de Largo Winch.
Largo Winch, j'avais déjà pu l'apprécier avec le premier volet, est une franchise tricolore qui n'a rien à envier à d'autres productions américaines de sa gamme. Et si on peut effectivement trouver que le scénario est un peu trop prévisible ou que Sharon Stone n'arrive plus à décoller de la carte Catherine Tramell de Basic Instinct, on ne pourra que tomber d'accord sur ce sourire malicieux de Tomer Sisley qui réveille les hormones comme personne.
Un film musclé, qui ne fait pas le dos rond à une histoire de fond, et dont les scènes d'action sont burnées comme on les aime.
Vraiment, on ne me fera pas dire du mal de Largo Winch.
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le 23 févr. 2011
Critique lue 217 fois
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