La scène d’introduction est assourdissante, la dualité s’inscrit dès le début avec ces vingt premières minutes en huit clos dans le sous-marin, entre gros plans sur les visages et immensité de la mer jolie. La musique est saisissante, les jeux de lumières sont contraires et complémentaires, doux-amer. La performance des acteurs est remarquable, mention spéciale pour François Civil, on le veut davantage dans des drames. C’est avec un scénario malin et bouleversant que vous allez vous noyer dans la poésie de cette fiction.