Primo, l'adaptation n'est pas complètement fidèle. Angelo condense le refus de Chabert, en enlevant la scène où la comtesse, croyant ne pas être entendu de lui, demande à son avoué si Chabert a signé. Dommage. Deuxièmement, le scénario fait de Derville une sorte de justicier : dans la nouvelle, l'avoué a tellement à faire qu'il finit par oublier Chabert, sinon pour réclamer remboursement de son avance. Mais dans le film, Derville venge Chabert en annonçant au comte Ferraud que son mariage peut... Lire la critique de Le Colonel Chabert