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Le dictchatcheur.
Il est intéressant de découvrir "Le crocodile du Botswanga", seconde collaboration entre Lionel Steketee, Fabrice Eboué et Thomas N'Gijol après "Case départ", au moment où la polémique concernant...
Par
le 20 déc. 2014
12 j'aime
Le Crocodile du Botswanga par g0urAngA
Après un Case Départ, furieusement réussi et caustique, nous étions en droit d'attendre de ce Crocodile avec impatience.
Eh bien zut ! On regrette très rapidement le manque de rythme et de maîtrise de l'ensemble, Le Crocodile regorge pourtant de bonnes petites vannes, mais hélas, salement exploitée et noyée dans la lourdeur des situations. En effet, il n'y a que Eboué qui pourra nous faire esquisser quelques rires bien trouvés, car l'interprétation de N'gijol surjoue la caricature et peut être que pour la durée d'un sketch, cela reste drôle, mais pendant près d'1h40, ça ne le fait pas du tout.
Avec des références assez risquées en ces temps, sur les Juifs, le nazisme, le colonialisme. Le Crocodile du Botswanga penche volontairement du côté des OSS version Hazanavicius, malheureusement sans lui arriver à la cheville. Dommage, car il y avait matière ...
Eh bien zut ! On regrette très rapidement le manque de rythme et de maîtrise de l'ensemble, Le Crocodile regorge pourtant de bonnes petites vannes, mais hélas, salement exploitée et noyée dans la lourdeur des situations. En effet, il n'y a que Eboué qui pourra nous faire esquisser quelques rires bien trouvés, car l'interprétation de N'gijol surjoue la caricature et peut être que pour la durée d'un sketch, cela reste drôle, mais pendant près d'1h40, ça ne le fait pas du tout.
Avec des références assez risquées en ces temps, sur les Juifs, le nazisme, le colonialisme. Le Crocodile du Botswanga penche volontairement du côté des OSS version Hazanavicius, malheureusement sans lui arriver à la cheville. Dommage, car il y avait matière ...
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le 4 juil. 2014
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Bobof...
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