7
Scotland Hard
Film à la narration classique s’il en est, Le Dernier Roi d’Ecosse possède tout de même une faille de taille : celle de mêler la fiction à un fond totalement réel. En effet, si la retranscription de...
le 18 sept. 2012
30 j'aime
1
Le Dernier Roi d'Écosse par Cylon
Plus que la prestation hallucinante et oscarisée de Forest Whitaker, c'est l'excellence constante du métrage qui est source de jubilation. En faisant cohabiter film historique et thriller fictif, Kevin MacDonald fait preuve d'une maîtrise exemplaire dans tout ce qu'il entreprend ici. La qualité de la reconstitution de l'Ouganda des seventies, le soin apporté aux décors et costumes, la force du scénario, le naturel et la justesse de James McAvoy... A tous les niveaux, Le Dernier Roi d'Ecosse est une oeuvre puissante et fascinante.
9
Écrit par
Créée
le 13 févr. 2011
Critique lue 279 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Le Dernier Roi d'Écosse
4
La dictature d'Hollywood
De bons acteurs. Un beau sujet. Un bon début. Mais des connards en chemise à manche courte que je vois bien, autour d'une table en acajou dans un grand studio, dire au scénariste : il faut que ça...
le 2 déc. 2013
25 j'aime
2
4
Critique de Le Dernier Roi d'Écosse par Ludovic Stoecklin
J'étais prêt à adorer ce film en le lançant tout à l'heure, le contexte intéressant qui permettait de développer ce biopic et d'en faire quelque chose de passionnant et un casting en or, j'apprécie...
le 31 juil. 2013
20 j'aime
5
Du même critique
10
Critique de Avatar par Cylon
12 ans après son précédent titanesque chef-d'oeuvre, James Cameron revient avec une promesse : celle de révolutionner le cinéma et de l'entraîner sur un nouveau terrain, celui de l'art absolu, de...
Par
le 18 déc. 2010
12 j'aime
1
9
Critique de King Kong par Cylon
Dans un esprit de culte perpétuel à l'oeuvre de 1933, Peter Jackson pond un film où chaque plan est un tableau vivant d'une beauté extraordinaire, du New York de la grande dépression à l'île...
Par
le 18 déc. 2010
7 j'aime
4
Critique de A Dangerous Method par Cylon
À trop se concentrer sur le fond de son histoire (la relation Freud/Jung), Cronenberg en oublie d'en faire un film : une sensation d'académisme primaire et sans âme s'en dégage, et l'intérêt d'un...
Par
le 2 déc. 2012
5 j'aime
