C'est bel et bien à un cas psychiatrique que l'on a affaire ici, concentrant son désir de vivre dans le but de tuer une personne précise, et ce malgré son incarcération dans un camp de rééducation et contre l'avis de son imam déjà bien siphonné par certains tout petits paragraphes du Coran, qui on le voit ici, propose des visions contradictoires au fil de ses pages. (trop volumineux...)
De plus, on donne à voir ici en précision et en détail la vie de "ces gens" qui ne sont pas comme nous, faite de prières pusillanimes qui sentent des pieds ou du cul...
Pour finir, on nous montre avec quel génie le petit Ahmed se sert d'une brosse à dent élimée comme arme potentielle, comment il enveloppe un couteau de Sopalin pour ne pas qu'il le blesse une fois mis dans sa chaussette, comment il trouve une arme improvisée en essayant d'arracher les pignons qui supportent des pots de fleurs... y'a pas à dire, ils sont forts ces Arabes.
Une fiction risible en tous points, et qui manque largement son propos. (euh quel propos ?...)