Tant de tout, pendant trois heures
J'en suis sorti essoré par tant de monstruosité, tant de fric, de cul, de drogue, de connerie mais, comme c'est la réalité, on s'accroche, on comprend rien aux magouilles mais on voit que le fric rend complètement dingue. Ce mec est un monstre, Scorsese en fait un monstre et DiCaprio est bien crédible dans ce délire sous cocaïne et autres substances addictives: à commencer par le dollar...
Il semblerait que Scorsese traite ici de son addiction au cul et à la coke, notamment entre 1976 et 1978 (acmé des doses) où il demandait expressément de la poudre, sous peine de ne pas donner d'ITW au festival de Cannes (pour la présentation de The Last Waltz) et où il quitta sur le champ sa femme, enceinte, pour continuer à forniquer avec Liza Minelli particulièrement junkie elle aussi...