Au royaume de la douce folie . . .
Que dire, que dire ?
En premier lieu que j'ai mis le temps avant de m'attaquer à ce grand classique du long métrage d'animation, et que je le regrette sincèrement aujourd'hui. Ce n'est ni plus ni moins qu'un chef d'oeuvre de magie, de poésie, de liberté . . . On sent profondément la touche propre à Jacques Prévert, si "surréaliste", si "à part", si "prévertesque" . . .
Ayant attaqué l'oeuvre après avoir vu et revu tous les Myazaki, je comprends aujourd'hui l'influence durable qu'elle a pu avoir sur "le maître".
Bref chef d'oeuvre magistral à voir et à revoir sans limite, pour tous ceux qui conservent encore un semblant d'âme d'enfant en eux (il en reste quelques uns . . .).
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