Critique N°254 : Si Chuck Norris rangeait bien ses affaires aussi...


  • Lorsque, sur la Terre du Milieu, le magicien Gandalf le Gris découvre que l'anneau que possède le jeune Hobbit Frodon Sacquet, qui lui a été légué par son oncle Bilbon et qui lui permet de se rendre invisible, est en réalité l'Anneau unique recherché avidement par le seigneur ténébreux Sauron. Afin d'éviter que Sauron ne récupère l'anneau et ses pleins pouvoirs, Frodon et ses huit compagnons, la Communauté de l'Anneau, entament un périlleux voyage vers la Montagne du Destin dans le but de le détruire.


J'ai longtemps hésité à faire cette critique. C'est quand même ma saga préférée et il faut que je fasse un truc bien.
Parce-qu'autant des fois je lis mes critiques et je me dis, "Hey, pas mal !" autant d'autre fois je suis scotché de voir à quel point j'écris de la merde.
Alors pour Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau je m'applique, car ce qui va suivre sera plus proche de la déclaration d'amour que d'une critique.


Je peux comprendre que certaines personnes trouvent ce film long. Evidemment cette dernière phrase est fausse. Car ce sont les mêmes personnes qui ont regarder Avengers : Endgame ou Titanic sans sourciller sur la durée.
Ce film se mange tout seul, parfaitement découpé, on commence par une présentation de notre héro, de son univers et on nous montre jusqu'à quel point il va être déboussolé dans son aventure (qui sera au passage un poil plus relou que pour tonton Bilbo).
Juste l'intro te jette dans l'univers sans que tu puisse te poser de question.


Les musiques du génial Howard Shore vont définir des thèmes tout aussi iconique que John Williams pour Star Wars. De la marche puissante des Uruks au thème de la Communauté, aucune musique de ce premier volet ne sera hors contexte. Variants les instruments et la complexité des compositions selon "l'affiliation" des personnages vis-à vis de nos héros. Le thème du Balrog sur la fuite de la Moria est extraordinaire.


Attardons nous sur les costumes, juste regardez la quantité de détails qu'il y a sur n'importe lequel des costumes présentés !!
On va encore aller voir du côté des méchants mais les Uruks sont tellement réalistes. Des masques qui te font éviter les questions de crédibilité.
Les costumes des Elfes, des Nains ou même de Gandalf sont tout simplement bluffant de réalisme.
Si je regarde X-Men je vois Ian Mckellen jouer Magneto, mais ici, je vois Gandalf, rien d'autre. Même moi ça me frustre d'être autant absorber par le film.


Les décors sont tous vrais. Y'a quasiment rien en FX, mais voir cet assemblage de maquettes, superposées avec les acteurs et les vrais paysages... Comment dire... C'est juste une réussite, on y croit. 20ans après la sortie de ce film, il n'y a toujours aucun défaut de visible. Là où le Hulk de Avengers : Endgame sera surement très vilains dans 20ans.
Si on compte le nombre de plans iconique présent dans ce film on avoisine les 500 facilement. Oui bien sur que je suis objectif !


Ce film me soigne. Si je ne suis pas en forme je me lance dans ce film et je suis sûr de me sentir mieux après. Peter Jackson fait un sans faute avec ce début de trilogie et Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau ouvre la voie à ses deux suites qui vont être tout aussi réussit.

LaMoustache
10
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Blu-Ray en ma possession.

Créée

le 14 avr. 2020

Critique lue 83 fois

LaMoustache

Écrit par

Critique lue 83 fois

D'autres avis sur Le Seigneur des Anneaux - La Communauté de l'anneau

Du même critique

The Night Comes for Us
LaMoustache
6

Critique N°177 : Sleeping Dogs

Au sommet de sa puissance, la Triade indonésienne contrôle 80% des activités de contrebande en Asie du Sud Est. Au sommet depuis des années, les dirigeants de la Triade ont créé une petite formation...

le 23 sept. 2019

5 j'aime

300
LaMoustache
9

Critique N°1 : Une critique parmi 300 autres.

Xerxès règne en maître sur le monde oriental et sur l'empire perse. Leonidas, roi de Sparte décide de lancer une offensive, contre l'avis des personnes situées au dessus de lui, pour éviter que la...

le 9 févr. 2018

5 j'aime

4

John Wick 2
LaMoustache
8

Critique N°51 : An unfinished business.

Après avoir venger son chien et récupéré sa voiture, Wick doit suivre les règles et honorer son serment fait envers un ancien ami. Aidant à contre-cœur son ami, Wick va s'engager dans une guerre...

le 16 mai 2018

4 j'aime