Les frères Dardenne ne se renouvellent jamais, mais montrent à chaque fois la maîtrise folle de leur cinéma qu'on ne saurait leur en vouloir. Le Silence de Lorna ne déroge donc pas à la règle. La caméra suit sans cesse l'héroïne du film, Lorna, dans ce qui est peut-être leur film le moins léger, sous fond de mafia, de mariage arrangé, et d'assassinat. Les réalisateurs arrivent pourtant à préserver la fraîcheur caractéristiques de leur film et réussissent à confondre le spectateur avec l'héroïne, l'insérant dans son combats et son questionnement
Un nouveau grand film des frère Dardenne !
JimAriz
8
Écrit par

Créée

le 24 mai 2014

Critique lue 485 fois

4 j'aime

JimAriz

Écrit par

Critique lue 485 fois

4

D'autres avis sur Le Silence de Lorna

Le Silence de Lorna
socrate
6

Tortueux

Voilà un film qui a beaucoup de points communs avec Rosetta : un peu de caméra à l’épaule, mais de façon nettement plus supportable ; de la lenteur, que certains supportent mal, mais que je trouve...

le 20 juin 2013

21 j'aime

2

Le Silence de Lorna
Frankoix
1

Critique de Le Silence de Lorna par Frankoix

La caricature absolue du film d'auteur misérabiliste, sans ambition et sans intérêt, qui provoque un ennui constant et un agacement indicible. Une situation de départ intéressante est gâchée,...

le 26 juil. 2010

7 j'aime

1

Le Silence de Lorna
Cinemaniaque
4

Critique de Le Silence de Lorna par Cinemaniaque

Aucune subtilite, des ellipses tres genantes, une fin looooongue... Même le casting est compose de revenants masculins (Fabrizio Rongione, Olivier Gourmet, Jeremy Renier et le gamin du Fils ; à...

le 2 oct. 2010

5 j'aime

Du même critique

Cannibal Holocaust
JimAriz
2

Une horreur sans nom

Cannibal Holocaust est très vite devenu archi-culte grâce aux nombreux scandales qu'il a suscité. Interdit aux moins de 16 ans dans sa version censuré. Accusé d'avoir réalisé un snuff-movie, le...

le 6 nov. 2011

19 j'aime

8

Restless
JimAriz
8

Une douceur...

Ah ! Le cinéma de Gus Van Sant, ces images, ces musiques qui bercent ces adolescents en marge de la société... C'est cette fois-ci traité avec beaucoup de légèreté malgré l'image de la mort ambiante...

le 24 sept. 2011

18 j'aime

La Mouette
JimAriz
9

Critique de La Mouette par JimAriz

"Je suis une mouette" s'écrit Nina en toute fin de pièce. En effet, elle et tous les autres personnages de cette pièces incroyable de Tchekhov, ne sont rien d'autres que des mouettes. Des oiseaux...

le 5 avr. 2013

14 j'aime

2