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Neilson piquette
Il y a un moment dans une cinéphilie ou comme une lassitude vous étreint à l’idée de vous lancer devant tel Satyajit Ray prétendument somptueux ou encore ce Resnais tellement coté qu’il promet...
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le 8 janv. 2014
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Au début, on se dit que l'on a le choix entre un film sur la naissance des Etats-Unis à travers la construction du chemin de fer ou un western d'action avec des bandits. Pas de bol pour moi, c'est la seconde option qui l'emporte. Les westerns à coups de gunfights ne me passionnent guère a priori, et quand le scénario est tout fumeux avec une intrigue mal posée et de la psychologie de comptoir, je m'embête doucement.
L'arrivée de Dan Durya (ma gueule de fils de pute préférée) est une désillusion complète. Mais pourquoi diantre crie-t-il durant tout le film au lieu de parler ?
Alors je me rabats sur James Stewart (pas à son meilleur pourtant), sur les bouleaux jaunis, et je me dis qu'un western d'automne, c'est beau et ça sonne bien.
PS : Je hais l'accordéon et j'ai poussé un ouf de soulagement quand l'immonde instrument qui me cassait les oreilles depuis plus d'un heure a pris feu. Il y a des petits plaisirs comme ça.,,
L'arrivée de Dan Durya (ma gueule de fils de pute préférée) est une désillusion complète. Mais pourquoi diantre crie-t-il durant tout le film au lieu de parler ?
Alors je me rabats sur James Stewart (pas à son meilleur pourtant), sur les bouleaux jaunis, et je me dis qu'un western d'automne, c'est beau et ça sonne bien.
PS : Je hais l'accordéon et j'ai poussé un ouf de soulagement quand l'immonde instrument qui me cassait les oreilles depuis plus d'un heure a pris feu. Il y a des petits plaisirs comme ça.,,
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Créée
le 5 janv. 2014
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