Le film s’ouvre sur la mort lente d’un enfant dans un sous-terrain que traversent des adultes indifférents, instaurant la dynamique tragique de tout le récit à venir, sous forme de retour en arrière : l’échec est à la fin du voyage, et la solitude l’aura marqué jusqu’au bout. Oscillant entre le regard brut, réaliste et quasi documentaire sur la guerre, et celui des enfants qui l’habitent, Takahata ménage un écart d’une violence profonde. Le cadre est celui d’un univers urbain sur lequel... Lire la critique de Le Tombeau des lucioles