Je ne vous mentirai pas, je ne suis pas un grand cinéphile et je ne connais pas particulièrement la filmographie de ce cher Tarantino, mais je saurais vous dire que Pulp Fiction est pour moi un chef d'oeuvre et que j'ai bien aimé inglorious basterd. Je ne vous ferai donc pas un avis haut perché avec des mots qui me sont incompréhensibles et je ne citerai d'ailleurs pas les références du bonhomme de 52 ans pour ce film car je ne les connais pas.


Donc, pour moi le film est une franche réussite. J'ai été tenu en haleine pendant les 2h46 du film, ce qui est un exploit rare pour un film d'occuper toute mon attention.



Si vous n'avez pas lus le synopsis et que vous ne voulez pas connaître
les bases de l'histoire, je vous invites à scrollez un peu plus bas



Donc, on suit une petite dilliigence, manié par OB, transportant John Ruth, un chasseur de prime et le fruit de sa prime, Daisy Domergue. Sur la route et poursuivis par un blizzard, il croise un autre chasseur de prime joué par nul autre que Samuel Jackson. Non sans méfiance, le vieux bougre Ruth décide de le laisser faire voyage avec lui. Encore sur la route, ils rencontrent le supposé nouveau ''Sherif de Red Rock (la destination de ses deux chasseurs de primes) qui est sudiste et fils d'un soldat de la guerre de sécession et qui bien sûr, n'est pas fan des gens de couleur noire. (pour ne pas dire nègre)


Les 4 amis étant embarqués dans une aventure rocambolesque s'arrête dans une petite auberge dans les montagnes en attendant que le blizzard passe. Dans cette auberge, il rencontre 4 autres bougres, notamment un bourreau, un amérindien (je crois), un mexicain et un vieux suddiste. Rapidement, John Ruth s'aperçoit que quelque chose cloche et sait qu'une personne est là pour libérer Daisy Domergue.



Fin du synopsis.



Donc, la première partie du film (qui n'est pas la première moitié) à l’extérieur s'annonçait mal pour moi car je ne suis pas fan des montages lent et contemplatif et surtout que 10min de dialogues dans une dilligence en plan contre champ, c'est pas mon délire.


Mais, rapidement on se retrouve dans l'auberge et c'est pour moi, à ce moment que le film démarre vraiment. Le début n'étant que de l'exposition. On y retrouve de la tension et on se demande vraiment qui peut être le bad guy de l'histoire. On ne peut pas se fier au mec un peu louche seul au fond de la pièce et on ne peut pas se fier au type avec des papiers et avec une histoire solide. Il n'y a que des dialogues pendant deux heures de films et on reste quand même scotché dans notre siège. On se surprend même à regardé les acteurs dans le flou de la caméra en se demandant ce qu'ils font et pourquoi ils sont si loin de la caméra.


Bref, c'était l'avis d'un spectateur lambda sur un excellent film, n'hésitez pas à aller voir l'avis des vrais spécialiste pour une meilleure idée sur la qualitée du film!

Ezio926
9
Écrit par

Créée

le 5 janv. 2016

Critique lue 249 fois

2 j'aime

Ezio926

Écrit par

Critique lue 249 fois

2

D'autres avis sur Les 8 Salopards

Les 8 Salopards
KingRabbit
8

Peckinpah Hardcore

Le film va diviser... Encore plus que d'habitude pour du Tarantino, mais sur le plan moral essentiellement, là où les précédents Tarantino décevaient également sur la forme, avec des films...

le 25 déc. 2015

259 j'aime

26

Les 8 Salopards
Sergent_Pepper
7

8 hommes en polaires

On pourrait gloser des heures sur chaque nouvel opus de Tarantino, attendu comme le messie par les uns, avec les crocs par les autres. On pourrait aussi simplement dire qu’il fait des bons films, et...

le 9 janv. 2016

206 j'aime

31

Les 8 Salopards
Velvetman
8

Oh, you believe in Jesus now, huh, bitch? Good, 'cause you gonna meet him!

Crucifiée, les yeux tournés vers une terre enneigée, une statue christique enclavée au sol observe de loin cette Amérique qui subit les cicatrisations cathartiques du clivage des contrées du Nord...

le 6 janv. 2016

143 j'aime

20

Du même critique

The Voices
Ezio926
7

Sing a happy song! Sing a happy song!

Je pourrais écrire 21 000 lignes sur ce film et je ne pourrais vous démontrer toute sa génialitude. Je ne peux que vous conseillez d'aller le voir et de profiter d'un Ryan Renolds en pleine forme...

le 6 janv. 2016