Tout l’intérêt du premier film résidait dans la découverte d’un pan jusque là inconnu de l’univers Harry Potter : New-York, les années 20 et les animaux fantastiques.
Malheureusement, la combinaison « passé l’effet de surprise » / rattachement à marche forcée à l’univers Harry Potter est fatal à ce deuxième volet qui se contente de faire passer ces personnages d’un ministère de la magie à un autre, avec au milieu de ça une balade dans des apparts parisiens et un faux Père Lachaise. Rien qu’on ne pourrait voir chez Stéphane Plaza.
Et en plus c’est étrangement laid et mal branlé visuellement. Bref, rien à sauver si ce n’est un creature design toujours aussi créatif.