7
État de piège
Quel que soit le sujet qu’il aborde, Peckinpah n’a eu de cesse d’illustrer ce que l’individu peut avoir de plus mauvais : en décapant le glamour des amants criminels dans Guet-Apens, des héros du...
le 22 mars 2017
67 j'aime
4
Peckinpah chez les Britishs.
J'en ressors à l'instant. Et j'apprécie encore toute la finesse de l'œuvre, qui je pense, va me hanter pendant quelques temps.
Quelle claque ! Ça, c'est du Cinéma ! Et quels comédiens ! On est vraiment loin des Ben Affleck ou autres Gad Elmaleh... : Sam Peckinpah sait diriger son équipe, on le sent. Dustin Hoffman est impeccable.
Si la violence n'est pas visible tout le long du film,elle est palpable, loin d'être inutile et presque jouissive sur la fin.
Et quelle tension insoutenable !!
Un must des années 70. On sent tout de même la touche du réalisateur spécialiste de Western, certains plans sont de vraies perles.
L'être humain dans toute sa bestialité la plus primaire.
9
Écrit par
Créée
le 26 août 2015
Critique lue 388 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Les Chiens de paille
9
L'Homme à l'état sauvage
Sam Peckinpah est vraiment un réalisateur hors du commun. En défiant constamment la chronique par sa manière de dénoncer les faux-semblants acquis par l'Homme civilisé, il peut certainement être...
Par
le 12 mai 2012
54 j'aime
14
7
Les comptes d'Hoffman
Dustin, mathématicien américain, vient s'installer en Cornouailles chez les bouseux, avec sa femme... Neutre et lâche de nature, Dustin va devoir se réveiller pour protéger un tueur d'enfants de la...
Par
le 1 janv. 2011
40 j'aime
7
Du même critique
9
Dance with the Goombas !
Bon, je vais encore me faire des ennemis dans les amoureux du Cinéma, mais je l'assume totalement, j'ai aimé ce film, et l'ayant revu il y a peu de temps, je peux le redire : je l'aime. Et étant l'un...
Par
le 22 sept. 2015
6 j'aime
2
9
Dialogue avec mon Jardinier
Un PIxar annonce toujours, pour ceux qui rêvent encore en étant adulte, une sorte d'utopie de l'animation que l'on file voir avec des grands yeux emplis d'émerveillement et la bouche bée. Mais voilà,...
Par
le 6 févr. 2016
5 j'aime
4
7
Derrière toi, là ! Il a pas l'air commode le gars.
La citation de Clarke en ouverture du film donne l'ambiance : "Deux possibilités existent : soit nous sommes seuls dans l'univers, soit nous ne le sommes pas. Les deux hypothèses sont tout aussi...
Par
le 28 août 2015
4 j'aime
