Encore un hymne aux fesses comme les aiment les obsédés de la gent masculine... Mais quel hommage vibrant ! Ne serait-ce que pour la réplique de Marielle, étonnement jeune, qui décrit avec une sincère émotion le postérieur de sa conquête.
Donc Marielle, moustachu et tristounet, va son chemin de VRP. Il y croise des muses sans lesquelles il n'aurait guère que motifs à déprimer. C'est dans cette fuite jubilatoire d'un quotidien morne à pleurer que réside tout le charme de ce film, que Joël Séria a tourné en vrai érotomane, mais, peut-on lui en vouloir quand c'est Jeanne Goupil qui est devant la caméra ??