Aurait pu s'appeler Les Confessions ou Le confessionnal mobile.
Il ne paye pas de mine, mais que cela fait du bien.
La simplicité et l'engagement social de l'oeuvre rappelle "Journal de France" en 2012, lui axé sur la rencontre et la photographie.
Concept simple et fort, le spectateur est comme un psy qui observe, écoute, et qui ne juge pas, car n'interview jamais lors de tout ses cas de figure, que dis-je ces recueils.
P.s : La discussion entre les deux amies ayant subies des violences conjugales demeure la plus résonnante mais le touchant est certainement l'échange mère-fils sur la responsabilité et l'abnégation, poignant. En fait les discussions des femmes sont les plus interessantes car souvent plus profondes.