Eau, mines et râles
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Cru, dur, fort, poignant. Un film humaniste malgré tout, où le spectateur n’oubliera pas les personnages, comme la complicité des jumeaux ou le militaire danois qui doit se débrouiller avec ces soldats à peine sortis de l’adolescence. La pesanteur du sujet est sublimée par les lumières rasantes de coucher de soleil et les vents marins tourbillonnant dans les paysages sablonneux. Pour bien insister sur le fait qu’il n’y a jamais de gagnants à la guerre et que cette date ne rappelle pas la victoire d’un peuple sur un autre mais la victoire de la démocratie sur le totalitarisme.
Créée
le 5 sept. 2017
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