Critique sexuelle des Runaways
"The Runaways" : la preuve que le sexe fait vendre, ou tout du moins l'imaginaire lié au sexe.
Pas grand chose à dire à propos du scénario puisqu'il s'agit d'un biopic (très tendance fancy dans les années 2000, avec "La Môme", "Ali", "La Chute", "Sans arme ni haine ni violence", "Mesrine"...). On devient alors tributaire d'une réalité peu ou proue modifié par le besoin cinématographique. "The Runaways" racontera donc, non sans surprises, le récit du groupe créé par Joan Jett.
Comme dit précédemment, ce film est une preuve de la qualité commerciale du "cul" (on notera que la pornographie connaît peu la crise, malgré l'affluence du porn sur la toile). La puissance de l'imaginaire de l'être mâle est mise à contribution avec ce long-métrage. On a tout d'abord Joan Jett, campée par l'idole des adolescentes pré-pubères fanatiques de Twilight, j'ai nommé la jeunette Kristen Stewart. Une petite post-ado d'une vingtaine d'années attirerait sans nul doute aucun les faveurs de détraqués sexuels les plus pervers, désirant de la chaîr fraiche. Une première bombe dans le film. Si à cela on ajoute son comportement de révoltée, on obtient un cocktail sexuel sans précédents! Le film aurait pu s'arrêter là dans la surenchère de l'appel au viol, mais non. Il nous rajoute, pour notre plus grand plaisir, la délicieuse Dakota Fanning. Alors là : petite blonde sexy approchant à pas minuscules la majorité, c'est le paradigme d'un manège à foutre. Rien que le fait de pouvoir admirer son corps de jeune pousse en jarretelle, supportant avec une nonchalance incroyablement désinvolte un bustier black and white, c'est une aubaine pour chaque enfulte rêvant de tremper le biscuit, et encore plus pour les vieux cochons lassés par le corps fripé de leur partenaire. Alors, il ne faut pas s'étonner si les demies-molles persistent et signent pendant le visionnage du film. Et comble de bonheur, il se trouve que les personnages de Kristen Stewart et Dakota Fanning ont une petite relation intime. Alors imaginer les deux comparses se titiller la rosette est un véritable régal mental.
Le sexe fait vendre, ce n'est pas nouveau. En ceci j'admire la qualité plus orgasmique qu'esthétique de l'œuvre.
Rock'n'Roll merde !
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.