Eloge du toc
L'usage d'un mythe urbain riche de potentialités se transforme entre les mains de Neil burger en un divertissement tape-à-l'œil, facile et creux. Ecrivain sans le sou, tirant sa flemme de gamineries...
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le 29 mars 2011
37 j'aime
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Déjà vu au cinéma en 2011 à la sortie, je n'étais pas encore sur SC. Revu en DVD aujourd'hui. Peut-être est-ce dû à la mauvaise sonorisation, mais certains détails m'ont échappé. Peu importe, je me souviens de l'intensité que j'ai éprouvée en le regardant la première fois, et je la comprends avec ce deuxième visionnage. Comme quoi, certains films n'ont pas besoin d'être visionnés plusieurs fois. J'ai même moins apprécié ma séance qu'autrefois. Mais je mets 8 quand même car c'est un bon film, même si l'idée de base, à savoir qu'on utilise que 10% de nos capacités cérébrales, a été largement démenties dans les médias scientifiques sérieux. En effet, on ne peut pas dédier des cellules nerveuses qui sont dédiées à la mémoire, à l'attention, par exemple. Néanmoins, le coup de la "super drogue" donne des situations intéressantes, à l'image un peu du roman Des Fleurs pour Algernon. Je me souviens aussi d'une fin tendue, qui justifie l'emploi de De Niro, même si je ne l'ai pas bien comprise dans ce deuxième visionnage. Le héros bluffe-t-il ? Quel est l'enjeu de ce dialogue ? Bref je suis à côté de mes pompes, si on utilise que 10% de son cerveau moi je dois n'en utiliser que 1% : ainsi, même si je sais que c'est un bon film, je ne saurais vous expliquer pourquoi... agagagagagah...
Créée
le 3 mars 2020
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