La nuit, je mens.
For relaxing times, make it Suntory time. Ville à la fois moderne et historique, lieu d’un pèlerinage sentimental impromptu. Lui essaye de s'éloigner d'un couple en perdition et, elle, suit son...
Par
le 16 févr. 2014
159 j'aime
11
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 7 juil. 2014
Critique lue 261 fois
D'autres avis sur Lost in Translation
For relaxing times, make it Suntory time. Ville à la fois moderne et historique, lieu d’un pèlerinage sentimental impromptu. Lui essaye de s'éloigner d'un couple en perdition et, elle, suit son...
Par
le 16 févr. 2014
159 j'aime
11
La ville. Ce sont ces façades lumineuses qui préfigurent Blade Runner, vitres à perte de vue derrière lesquelles se trouvent encore des êtres humains, contemplateurs d’une étendue verticale qui...
le 6 sept. 2015
155 j'aime
31
Sur une trame somme toute très simpliste, l'errance de deux personnages dans un Japon culturellement opaque, Sofia Coppola construit une relation émouvante, ouverte et tactile, éffleurements discrets...
Par
le 21 déc. 2010
132 j'aime
6
Du même critique
Cet album est un instantané de la créativité des Beatles et tout y est mais il y a surtout une de mes ballades préférées qui a conditionné mon sens mélodique pour des décennies: Eleanor Rigby.
Par
le 7 juil. 2014
1 j'aime
Le pitch est séduisant ... Joaquin Phoenix est plutôt touchant ... la voix de Scarlett est sublime ... mais quel mélo mielleux mal mis. Quel manque de finesse dans le scénario. Un sursaut de lucidité...
Par
le 30 juil. 2014
Hornby... Nous restons en banlieue Rock mais une banlieue lointaine. Nous avons donc un rocker , une idole, ou plutôt une ex idole. Nous avons un album: Juliet. Et une femme. ou une ex-femme...
Par
le 23 juil. 2014