Est-ce l'écrivain rêveur sommeillant sous mon sens critique qui a voulu se reconnaître dans cette histoire bien tournée? Ou la parfaite harmonie des dialogues et des situations? Toujours est-il que le flm m'a transporté aux confins de mon imagination, dans un monde créer et voulu par Woody Allen, mais dont il sait explorer chaque recoin derrière le masque de la comédie "sérieuse" afin de plonger dans l'Âme humaine, ou du moins cette âme artistique qui flatte le sentimentalisme de tout un chacun.
Un hic toutefois, quoique léger, le personnage qu'incarne Owen Wilson ne fait aucun choix dans l'intrigue, ne subissant que la curiosité passive à laquelle le pousse son émerveillement, voir son éveil, au contact des rues et hauts lieux mondains de la Capitale.
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