Un kidnapping, une galerie de personnages excentriques soulignant par leur accumulation le paysage sordide dans lequel évolue un héros à l’écart des conventions, de la violence sèche et des antagonistes aux objectifs sordides… Mute, plus que la science-fiction, braconne ouvertement sur les terres du film noir pur jus : le décorum technologique, dont le côté factice, plastique, évoque surtout le récent Zero Theorem de Terry Gilliam, semble être finalement là pour moderniser les emprunts multiples au genre qui forment l’identité du film de Jones…
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