Avec la pandémie du Covid 19 il est difficile de se mettre quelque chose sous la dent au cinéma. C'est donc l'occassion de voir les films qui trainent dans nos listes d'envies. Ce film traine depuis fin 2017 dans ma liste. Ce qui fait longtemps.
Une énorme claque que m'a infligée ce film extraordinaire dès la musique d'introduction . Sans la moindre difficulté, Carpenter pose avec rapidité son intrigue (de nos jours, la mise en situation se fait parfois en plus de 45 minutes), ce qui nous conduit dans un New York apocalyptique transformé en prison par un état débordé par le taux de criminalité. New York est comme une métropole junglèsque, remplie d'animaux, d'humains zombizés, dans laquelle seule la loi du plus fort permet de survivre. Et c'est le deuxième film de Carpenter que je visionne seulement.
Le compte a rebours créé un rythme palpitant! Les décors sont superbes : voir Tout New york derriére des murs, sans éclairage .
La meilleur scène et celle qu'on retient le plus est la fin, ou snake demande au président ce qu'il pense des gens qui ont aider le préisdent à le sauver en se sacrifiant, le président répond le discours classique des hommes politiques " Ils se sont sacrifier pour leur nation". Snake alors détruit la bande qui aurait permis d'installer la paix dans les pays. Un passage absolument merveilleux et classique qui a valu un " Contenu inaproprié " en amérique et une censure depuis le 11 septembre 2001.
New York 1997 est un des films référence qui a influencé toute une génération de film et je m'en rends compte lors du visionnage.
Note : 10/10