Bravo à Guillaume Canet d’avoir réalisé une suite encore plus con que ses « Petits mouchoirs ».
On prend les mêmes et on recommence. Allez je fous même le mort dedans parce que merde il a une Oscar comme bobonne. Et un film avec deux oscarisés putain c’est trop la classe…
Je suis fort étonnée qu’un téléfilm coûte autant de pognon. Mais ça doit être la location de la villa et les commandes de rosés et d’huîtres…
Canet n’est apparemment pas un dramaturge, on le préfère d’ailleurs quand il réalise des films totalement barges comme son premier film « Mon idole » ou peut-être même « Rock’n’roll ». Parce que le pseudo drame de petits bourgeois s’envoyant des huitres, du rosé et quelques pénétrations au Cap Ferret, on n’en a strictement RIEN A FOUTRE.
Canet arrive quand même à mal faire jouer François Cluzet qui en fait des tonnes. Sinon, ben rien ne change, Lelouch fait du Lelouch, Cotillard est un peu blonde, Magimel est une tarlouze s’envoyant en l’air avec un - attention clichés - chorégraphe ! Mais il trouve que son ex-femme qui prend soin d’elle est redevenue vachement bonne. Donc il se la tape.
Tout le monde se moque du chorégraphe qui ne sait même pas faire du vélo correctement ! Et là on se dit : « Wahou, Canet il a fait un personnage de pédale qui ne sait pas pédaler, ah ah, kikou, lol, mdr)
Laurent Laffitte fait son Michel Leeb .
Quant aux autres on s’en fout tellement l’histoire avec José Garcia et Valérie Bonneton n’a strictement aucun intérêt.
Sinon ben Max est devenu pauvre, enfin il dépose le bilan de ses petites entreprises. Du coup va falloir vendre la maison du Cap Ferret.
Maissssss nonnnnnnnnnnnn parce qu’au bout de plus de deux heures d’huitres, de rosé et de prises de têtes niveau CE1, les amis restent des amis et la maison ne sera pas vendue !
Nous finirons ensemble ? Oh putain surtout pas ! Merci ! Au revoir ! Et pas bisou…
Mention spéciale tout de même pour cette affiche si laide dans laquelle on s’attend à voir arriver, au loin, Maverick dans son avion de chasse…