Un panorama de la situation et des acteurs qui se partagent le Soudan à l'heure de la séparation du pays en deux. Ceux qui ont compris, ceux qui savent et ceux qui ignorent. Parfois un peu de tout à la fois. Informatif mais n'a pas été fait pour commencer une révolution: il s'agit pour le spectateur d'une découverte de la situation géopolitique mais en aucun cas d'un traitement exhaustif d'un sujet en particulier (le pétrole, le vol de terrains, l'entreprenariat, etc.), ce qui donne au documentaire une aspect parfois un petit peu brouillon où l'on se perd.
Une porte d'entrée sur le Soudan actuel ; et que ceux qui voudront agir, agissent !
Créée
le 2 oct. 2015
Critique lue 371 fois
D'autres avis sur Nous venons en amis
Hubert Sauper est un frondeur assez génial, qui a passé quelques années à construire un avion léger pour voyager au Soudan et partir à la rencontre des nouveaux colons : les Chinois d'une part, qui...
le 5 oct. 2015
4 j'aime
Nous venons en amis est un film utile. Il nous montre des choses que l’on pensait révolues. Des choses appartenant à un passé assez lointain, genre la décolonisation de la seconde moitié du XXème...
Par
le 4 nov. 2015
1 j'aime
Le cinéaste Hubert Sauper avait marqué en son temps les esprits avec son documentaire Le cauchemar de Darwin. Il y dénonçait une mondialisation ravageuse symbolisée notamment par l’introduction...
Par
le 12 avr. 2016
Du même critique
Difficile de juger un film, une oeuvre adaptée d'un vieux conte populaire. Difficile, car notre point de vue aujourd'hui sur les retors d'une histoire ne correspondent plus du tout à ceux qui étaient...
le 18 juin 2015
2 j'aime
Chaotique et sensible, drôle et tragique. Bong joue avec ses spectateurs comme l'assassin joue avec la police. On retrouve dans ce film toutes les qualités d'un grand polar, sublimé par une caméra...
le 3 juin 2015
1 j'aime
La Pologne au lendemain de la défaite nazie, un monde d'incertitudes où les combats sont devenus internes, combats pour le pouvoir, combats pour survivre... Un film difficile à suivre, surtout au...
le 12 juil. 2016
