Troisième et dernier volet… heureusement ! Les femmes (Julia Roberts et Catherine Zeta-Jones) sont absentes, probablement pour des raisons de casting (je n’ai pas pris le temps de rechercher ça !) et l’explication est balayée par une simple phrase (mais répétée trois fois en deux minutes dans la séquence d’introduction) : « It’s not their fight ! » Bref, tirez-vous, les nanas, y’a rien à voir, on se fait une virée entre hommes. Le prétexte de ce dernier épisode est une invraisemblable histoire d’arnaque dont est victime l’un des onze (ou douze ou treize, on s’y perd…) qui enclenche la réponse des autres, solidaires envers leur compagnon de brigandage. Le scénario est encore plus inepte que dans les deux premiers épisodes réunis et, côté interprétation, Al Pacino vient se perdre dans une distribution convenue où même Brad Pitt - bien que se goinfrant toujours à chaque plan - ne réussit plus à tirer son épingle du jeu, Rideau !