Dur de rentrer dans le film de prime abord, comme il est dur pour l'amoureuse de pénétrer la vie d'un artiste possédé entièrement par son art et qui ne tolère rien quand il est dans sa routine créatrice.
Les rouages de la relation homme / femme, artiste / reste du monde puis mari et femme analysées de façon chirurgicale par PTA.
Loin des dérives psychédéliques de "Mother", "Phantom Thread" tisse une toile sur l'obsession, amoureuse et artistique.

RedacJack
7
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les meilleurs films de Paul Thomas Anderson et Les meilleurs films de 2018

Créée

le 5 mars 2018

Critique lue 227 fois

4 j'aime

1 commentaire

RedacJack

Écrit par

Critique lue 227 fois

4
1

D'autres avis sur Phantom Thread

Phantom Thread
Velvetman
8

Possessions

La grande couture est une affaire d’orfèvrerie, un art délicat qui demande une minutie, un calme, un silence monacal. C’est dans cette vie-là, au côté de sa sœur Cyril, que Reynolds Woodcock a décidé...

le 15 févr. 2018

129 j'aime

4

Phantom Thread
Docteur_Jivago
8

The Ghost Dressmaker

Il y a quelque chose d'étrange dans Phantom Thread ainsi que dans la carrière de son auteur Paul Thomas Anderson, l'impression d'une rupture avec ce qu'il a pu réaliser jusque-là, lui qui traverse...

le 17 févr. 2018

64 j'aime

17

Phantom Thread
Behind_the_Mask
8

L'amour de l'art

Phantom Thread figurera sans doute tout en haut des tops 2018 point de vue technique, tant sa réalisation frôle la haute couture. Ca tombe bien puisqu'on est pile dans le sujet du film. Minutie de...

le 20 févr. 2018

57 j'aime

12

Du même critique

Conjuring - Les Dossiers Warren
RedacJack
9

Wan again

L'ami James Wan confirme avec sa seconde incursion dans le domaine de la maison hantée qu'il est l'un des meilleur réalisateur de série B depuis la pré-retraite méritée de Carpenter. La mise en...

le 26 juil. 2013

16 j'aime

7

Malavita
RedacJack
3

Bienvenue chez Besson

Ce qu'il y a de rassurant avec Luc Besson, c'est qu'il est constant dans la médiocrité et qu'il tend parfois à la nullité sublime (voir l'abominable Jeanne d'Arc). Cette fois l'ami Luc (peut-être...

le 23 sept. 2013

15 j'aime

18

Infinite
RedacJack
3

Critique de Infinite par RedacJack

Infinite commence comme un blockbusters très con, mais plutôt bien mise en scène (Fuqua est un yes man mais un yes man avec du talent (voir Training Day et le premier Equalizer). On ne comprend pas...

le 16 juin 2021

10 j'aime

2