Piranha 3D par mr. edward

Sea, sex and Blood, tout est dit sur l'affiche de Piranha 3D. C'est simple, efficace et Alexandra Aja va droit au but. N'essayez pas de chercher une quelconque profondeur scénaristique, le propos ne s'y prête pas. Ici il est question d'une fête d'étudiants au bord d'un Lac et que rien ne prépare à l'invasion sous-marine de piranhas affamés qui n'épargneront rien ni personne. Le gore et le taux d'hémoglobine explose littéralement, on observe avec un malin plaisir les protagonistes de l'histoire se faire malmener, même s'il est vrai que cette "boucherie" met du temps à arriver. Pendant une bonne partie du film, on ne voit que le "sea & sex" avant que la dernière demi-heure démarre et nous dévoile le « Blood ». Malgré tout on ne s’ennuie pas une seconde même si la tension instaurée a du mal à prendre, le montage est trop brute. Le film aurait gagné à être un peu plus long, à se demander s’il n’existe pas une version longue. La fin, quand à elle, est bâclée. Conclusion, mettez votre cerveaux sur pause à regarder le carnage si l’envie vous en dit.