Dans l’effervescence de la capitale chilienne Santiago, pendant les années 1940 et 50, « Alejandrito » Jodorowsky, âgé d’une vingtaine d’années, décide de devenir poète contre la volonté de sa famille. Il est introduit dans le cœur de la bohème artistique et intellectuelle de l’époque et y...
Match des critiques les meilleurs avis Poesía sin fin
VS
Cinémagique.
En regardant les dernières apparitions cinématographiques d'Alejandro Jodorowsky, il est facile de constater que la filmographie du joyeux luron prend une tournure centrée sur l'autobiographie. « La Danza de la realidade », « Jodorowsky's Dune », et maintenant cet ovni qu'est « Poesía sin fin », où le réalisateur de « La Montagne Sacrée » continu le récit burlesque et coloré de sa vie. Il l'invente, la réinvente, jusqu'à en obtenir un hybride situé entre Frank Capra et Federico Fellini,...
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30
3
Une imagination débordante finit par... déborder
La sincérité est une qualité indéniable pour n'importe quel artiste, et qui doit animer chacune des œuvres qu'il crée. Elle reçoit d'ailleurs souvent un écho chez le spectateur, qui considérera la plupart de temps que si les intentions sont bonnes, le résultat ne peut être en dessous d'un certain niveau. En témoignent les touchants nanars, et leur succès plus ou moins grand face à un public prêt à pardonner une médiocrité parfois virulente pour toucher du doigt les intentions d'un...
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8
Critiques : avis d'internautes (36)
Poesía sin fin
Tri :
recommandées
positives
négatives
plus récentes
Mariposa
Ce n'est définitivement pas tous les quatre matins que l'on peut se targuer d'avoir vu et ressenti pareille expérience de cinéma. Qu'on aime Jodorowsky ou qu'on le déteste à plus ou moins juste titre, ses films ne portent et ne porteront jamais l'essence de l'indifférence. On ne peut ignorer que regarder la Poesia Sin Fin fait jaillir en nous les racines...
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Le réel revisité
Alejandro Jodorowsky construit son nouveau périple mémoriel en boucle, en l'ouvrant et en le refermant sur le même ponton, celui sur lequel, jeune adulte, il a définitivement quitté son Chili natal. Mais entre les deux scènes, inaugurale et finale, se seront déroulées, réenroulées, toutes les boucles du film, si bien que la scène conclusive diffèrera radicalement de la scène incipiale, nous...
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Critique de Poesía sin fin par JordanTerri
Poesia sin fin porte bel et bien son nom. Ce film est une poésie, au même titre je pense que la vie de Jodorowsky en a surement été une (si on regroupe les anecdotes hallucinés de sa vie, de ses tournages, on aurait de quoi en faire un recueil).
Film autobiographique de la jeunesse d'artiste du réalisateur ô combien colorée. On va de rencontres étonnantes en coup de bol mémorables et on se...
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Les rêves et la réalité
C’est un jeune homme dans un joli costume blanc, et dans ses bras il tient un tout petit chien blanc, et il pendouille au bout d’une corde sous un réverbère dans la nuit de Santiago, Chili. Devant l’université de la ville, plus précisément. Son père voulait qu’il devienne architecte, mais lui ne voulait pas. Poesia sin fin ne parle pas de ce jeune homme dans un joli costume blanc, mais il...
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¡ Poesía, por fin ! *
Otra vez, tras la lucha que rinde
y la incertidumbre amarga
del viajero que errante no sabe
dónde dormirá mañana,
en sus lares primitivos
halla un breve descanso mi alma.
Une fois encore, après la lutte qui harasse
et l'incertitude amère
du voyageur qui errant ne sait
où il dormira demain,
en ces divinités primitives
se trouve un bref repos de l'âme.
Algo tiene este...
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