Ready player One est un retour remarqué au genre de prédilection (science-fiction), qui, à presque 77 ans, fait de Steven Spielberg le boss incontesté du genre.
Bien que le divertissement proposé soit kitsch et old school, quel n’est pas notre bonheur de découvrir devant des yeux ébahis que cette chasse au trésor est un prétexte à faire ressortir des ornières une multitude de références à la pop culture et aux jeux vidéo, séries et musiques cultismes des années 80.
L’intrigue librement adapté du roman d’Ernest Cline semble très fidèle à l’œuvre. Il est difficile de ne pas relever un schéma présent depuis 50 ans dans l’œuvre du réalisateur qui a toujours souhaité nous plonger dans le monde merveilleux de l’enfance.
Un casting très timide aux allures des Goonies ferait presque oublier que Steven Spielberg privilégie le plus souvent son œuvre à son choix d’acteurs.
Une réussite totale !