
D’un classicisme absolu, d’un manichéisme poussé, accompagné de l’esthétisme novateur des années 2000 ayant pris un certain coup de vieux, et pourtant ce film a quelque chose dans les tripes, quelques choses de fatal et d’écœurant, le style d’Aronofsky dans toute sa splendeur, avec son lot de maladresses et de talent.
Plus l’intrigue avance, plus on a le vertige de toute cette agonie, de toute cette corruption dévastatrice, qui vient peut à peut ,entacher l’esprit, c’est sans doute de la fascination après tout.