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Back in Time.
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On retrouve le « Doc » le plus ébouriffé et l’adolescent le moins crédible de l’histoire du cinéma — Michael J. Fox approchant de la trentaine — dans une suite qui se laisse voir principalement pour les à-côtés et les clins d’œil : assez rapidement, le scénario devient un prétexte à évoquer une société future, qui, par moments, rappelle par anticipation celle que Mike Judge peindra dans "Idiocracy". Comme ces digressions sont les plus nombreuses au milieu du film, c’est cette partie qui présente le plus d’intérêt.
En dehors de cela, "Retour vers le futur II" a beau ne pas paraître trop daté, mais on ne peut sauver ni le jeu d’acteurs sans âme, ni les personnages ultra-stéréotypés, ni l’idéologie sous-jacente — réussir, réussir, réussir… —, ni le travail de Robert Zemeckis, qui ne sait toujours pas porter de regard sur ce qu’il filme.
En dehors de cela, "Retour vers le futur II" a beau ne pas paraître trop daté, mais on ne peut sauver ni le jeu d’acteurs sans âme, ni les personnages ultra-stéréotypés, ni l’idéologie sous-jacente — réussir, réussir, réussir… —, ni le travail de Robert Zemeckis, qui ne sait toujours pas porter de regard sur ce qu’il filme.
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le 30 déc. 2014
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