Rusty James par Ray Harryhausen
A la base, je suis plutôt fan de Coppola; mais là, je suis resté assez extérieur au film, qui développe des thèmes somme toute classiques, mais avec de nombreuses expérimentations visuelles et de mises en scène; résultat: si on ne peut nier la maîtrise du bonhomme, celle-ci parasite pour moi le fond du film, à savoir les relations entre 2 frères et surtout le rapport du cadet à l'ainé devenu une sorte de mythe dans leur ville natale; il reste un bel objet théorique sur le passage du temps, ce que Coppola revendique au premier chef; à noter que vous avez intérêt à aimer les années 80 pour supporter le visionnage, car tant la musique que le style visuel sont fortement marqués par le sceau cette époque.