En 1958 une jeune fille enceinte au passé vraisemblablement traumatisé se retrouve femme de ménage dans l’orphelinat Saint-Ange, insalubre et délabré, qui ferme ses portes et évacue ses enfants suite à la mort accidentelle de l’un d’eux. En compagnie de la gouvernante qui y travaille depuis plus de 20 ans et d’une autre jeune fille dérangée, elles doivent le garder et l’entretenir avant sa vente définitive. Mais très vite elle comprend que le site abrite bien des morbides secrets d’après-guerre, sans parler des voix, des présences et des phénomènes étranges qui lui apparaissent bientôt.
Intrigue abracadabrante, lourdeurs, longueurs, succession de détails incohérents et pauvres révélations psychédéliques finales qui m’ont fait me demander pourquoi j’en étais arrivé là. A part Virginie Ledoyen dont le jeu sauve un peu le film par rapport aux autres potiches à la diction douteuse, voilà un petit spectacle sans grand intérêt, ni d’ailleurs originalité.