Avertissement.
Bonjour, bonsoir.
Récemment des membres du site m'ont fait remarquer que mon utilisation de Sens Critique ne leur convenait pas pleinement. J'ai pourtant bien expliqué ma façon de fonctionner dans ma présentation, mais pas tout le monde lis ma présentation avant de lire mes critiques. Pour vous, pour toi, pour les nouveaux, pour ceux qui ne sont pas encore parmi mes abonnés, pour les gens arrivés là par hasard, voilà mon avertissement : dans mes critiques je raconte ma vie et je raconte le film.
Ceci sera copié et collé sur certaines de mes critiques jusqu'à ce que j'en ai assez. Bonne lecture, lâche un pouce haut!
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Snowpiercer. Voilà donc le film du meilleur réalisateur coréen en activité. Bon ce n'est pas moi qui le dit et tu le sais déjà. Snowpiercer. Voilà donc le meilleur film d'un cinéaste asiatique ayant traversé le pacifique ou l'atlantique, ça dépend dans quel sens à volé son avion, puisque de toute façon il n'a pas pu y aller en train, celui de Wilford n'étant pas encore construit, mais c'est pour bientôt. Bon c'est toujours pas moi qui le dit, donc je ne m'engage pas.
Cela dit, concernant l'éventuelle perte d'identité d'un réalisateur qui passe aux zuèsha, je serait d'avis de dire que celui qui s'en est bien sorti cette année, c'est plutôt Kim Jee-woon.
Que faire d'un paquet d'allumettes?
Je suis désolé, mais n'ayant ni vu Alien, ni vu Blade Runner, tu as le droit de ne pas donner de crédit à ce qui va suivre, mais je vais quand même l'écrire, puisque tu me connais un peu maintenant, je suis ici pour papoter.
Il y a dans Snowpiercer, oublie je ne vais pas écrire le titre français car il ne me plait pas, une poignée de belles choses qui n'ont pas réussies à faire peser la balance de bon côté à mes yeux.
Guyness le dira peut être mieux que moi, il y a une cohérence visuelle forte, ce qui n'est pas négligeable.
Pour moi il y a surtout quelques moment forts, des choses qui peuvent paraître anecdotiques mais qui m'ont fait plusieurs fois me dire que le film obtiendrais au moins la moyenne.
J'aime beaucoup l'idée du train qui illustre à merveille cette idée d'ordre immuable.
Encore plus parce qu'il est en mouvement perpétuel.
C'est pourquoi, même si le quasi monologue d'Ed Harris ne m'a pas emballé dans son ensemble j'y ai trouvé un temps fort. Cette scène est donc pour moi très représentative de mon sentiment sur le film.
La chaussure en guise de chapeau, où le nouvel an express compte eux aussi comme des petits plaisirs. Surtout ce moment décalé du passage à la nouvelle année.
Il y a aussi une certaine façon de ne jamais laisser la musique prendre le dessus sur des scènes où l'ambiance sonore compte. Par exemple dans le wagon aquarium, où quand Yona marche dans la neige.
Aparté.
D'ailleurs, ce ne serait pas du luxe de foutre dans la liste des acteurs l'actrice qui campe Yona, on la voit bien plus souvent que Alison "we are the sex bo-bomb" Pill.
Merci.
Le retour de l'espoir.
Non, je n'ai pas pris mon pied avec ce film, certains détails m'ont fait tiquer et même si le film reste dur, et dieu sait qu'on aurait pu nous épargner bien des choses et fort heureusement ce ne fut pas le cas, je me serais volontiers laissé surprendre par une fin où Curtis, renonçant à ses beaux idéaux, prenait le relais et ainsi perpétuait le travail d'un homme qui avait compris comment gérer l'humanité.
Le plus gênant dans tout ça est que plus j'y pense, moins j'ai envie de saquer le film, je le sais, je ne le trouve pas exempt de défauts, d'approximation de scénario, d'un semi happy end, parce que finalement, le film dépeint avec justesse notre fonctionnement.
Et même si j'ai mes deux bras, j'ai du mal à applaudir le film. Je crois que ça demande une seconde séance.
xoxo.
Pinaise, je suis tellement perturbé par le potentiel du film que j'ai complètement oublié de parler des à côtés du film et de Johnutella. Demain promis.
Appendice :
Sacré nom de nom j'avais donc omis de te parler de Johnutella qui dorénavant se verra renommé Johnny boy, c'est tout aussi long, mais c'est la vie.
Johnny boy était accompagné de sa brune, qui dénonçons la tout de suite, n'est pas inscrite sur sens critique. Kewa!?! T'exclameras tu, laissant transparaitre un désarroi bien légitime dans ce questionnement primaire.
Bah non, certaines personnes ont une vie mon petit, c'est vrai, cela existe encore. Ils ont autre chose à faire. Des survivants à l'épidémie du virus De Poinzerrot.
Vois tu je connais si bien les stations métro de ma ville que je m'étais trompé en leur donnant rendez vous, rien de bien grave car j'étais à l'heure.
Et puis une fois dans mon véhicule, Johnny boy, en jeune homme courtois et bien élevé, a décidé de me donner la parole. Grand bien lui en a pris, puisque j'adore avoir la parole et qu'après je la rends difficilement. Et bla bla bla et bla bla bla, imagine que dans mes critiques je n'en raconte pas autant que tout ce que j'ai pu débiter ce soir là, tant à l'aller qu'au retour.
Nous avons donc vu le film, referendé pour savoir si nous allions manger chez quick et en dégustant un quick'n'toast j'ai commis une faute grave, un aveu qui va certainement me couter cher, puisque de toute façon je ne suis pas pressé de voir Blade Runner ou Alien.
Soyez franc qu'ils disaient.
Fun fact : Johnny boy et sa douce habitent l'immeuble juste en dessous de celui où j'habitais il y a encore un peu plus de cinq mois...
Dingue.
Pour conclure, et ni vois rien de sexuel, encore une fois je te connais, c'est toi qui a l'esprit bien plus mal tourné que moi, ces jeunes gens forts sympathiques sont tout à fait partant pour partager un pique nique, ou un bon gros steak entre sens critiqueurs du site. Eh oui mon gars, eh oui ma biche, il y a encore des gens qui ne sont pas effrayé à la simple idée de faire de chastes rencontres.
Je te bise la joue chère lectrice, cher lecteur et l'autre joue si t'es de la région et que tu as aussi envie de faire partie des meilleurs membres de sens critiques, c'est à dire ceux qui m'ont approché, cela va sans dire.
xoxo bis.