Obscure.
Viscérale Folie.
Névrose dans les entrailles
Née l'Entaille dans les roses
Crouler, fortuitement, passionnément
Au delà d'étrange vitrail,
enluminures illuminées des plus belles folies
Qui parsèment et qui brûlent,
l'âme à la dérive dans les écumes.
Disposé sur un comptoir grinçant
La main ferme, le verre de pisse.
La mine rêve, les yeux fixent.
Les uns crient, d'autres rient ; certaines fument ou se consument.
Comblé est l'espace. Le rouge ardent jonche
Le luxueux velours des parois de son cœur.
Dispersée, dans la foire mondaine
Où bouches se bouchent de paroles vaines
L'indolente émeraude jaillit telle une flèche
Aiguisée pour l'âme roque immergée dans la brèche.
Des airs célestes lointains
Esquissent dans nos cœurs ; un semblant de chagrin.
D'obsession et d'Ampleur.
Ses yeux azurs intenses, se posent sur Madame.
Qui le temps d'une danse, statique et aspirée
Suscite chez Monsieur, silencieuses cadences.
Cristallisant donc le prodrome de l'Adorée.
L'heure est à la ballade,
La Cuprique va s'envoler.
Fervents derniers regards d'un être fasciné.
Madame se resserre vers Monsieur palpitant.
Oeillade passagère perçue à la lisière
Spirale d'un grand soir où s'invitera gaiement
Le Songe vertigineux d'un Homme dans le vent
Scène qui illustre cette laborieuse tentative de lyrisme désabusé