Le film partage la même lenteur, et la même oppression que le premier dont il s'inspire. L'histoire reste similaire bien évidemment. Mais les choix photographiques sont plus marqués, tout comme le choix de l'époque : le Berlin de la guerre froide qui apporte encore un plus au niveau de la tension.
On flippe, on ressent l'angoisse et le malsain dès que l'on croise la première sorcière. Et pourtant le film reste hyper sexy. Le choix de l'héroine, rousse, a aussi son importance, elle rayonne à l'occasion de la scene finale pourtant très gore.