Puisque j'ai récemment vu (et revu) ce film, et que je l'ai beaucoup apprécié, j'aimerais donner mes propres impressions sur le sujet, mais aussi rebondir sur pas mal de choses que j'ai pu lire ici et là (il faut dire que ce deuxième opus a fait couler beaucoup d'encre, y compris même avant sa sortie...), et donc je me permets de répondre de façon générale à certaines critiques que j'ai pu lire souvent, certaines intelligentes et construites, d'autres qui font preuve d'un totale mauvaise foi...
Je dois vous avertir que cette critique regorge de SPOILERS, alors attention à ceux qui voudraient garder la surprise, vous êtes prévenus.^^

D'un point de vue général, j'ai vachement plus apprécié ce second opus, que le premier. Mais c'est souvent le cas, pour les trilogies/quadrilogies de super-héros ; passé le film d'introduction, on arrive enfin dans le cœur du sujet, et c'est souvent meilleur (pas toujours, mais souvent). Celui-là ne déroge pas à la règle selon moi. En plus, ne m'étant contentée que du premier trailer, j'ai vu ce film d'un œil neuf sans interférence préalable, une bonne chose apparemment.

Les SFX sont majoritairement irréprochables, et apportent vraiment un plus : voir Spidey virevolter dans tout New York, à grand renfort de ralentis et d'accélérations, c'est vertigineux et pratiquement tout le temps magnifique.

Voila pour mon avis général, j'ai aimé, j'ai eu un coup de cœur. J'ai passé un super bon moment, je n'espérais pas autre chose.

Je pense même que ce genre de critiques suffiraient amplement pour des films comme celui-là, qui ne cherchent pas à susciter la polémique, mais certains adorent se montrer extrêmement pointilleux, n'hésitant pas à exagérer beaucoup de choses concernant des détails, ce qui me donne invariablement envie de rebondir, tant certains font preuve d'une mauvaise foi totale et absolue... --'

A présent, je reprends maintenant quelques arguments que j'ai pu lire et que je trouve assez intéressants à analyser :

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"Peter n'est pas cohérent : dans le premier film, il renie sa promesse faite au père de Gwen sans vergogne, mais dans le deuxième, cette "trahison" le torture, faudrait savoir. Marre de ce jeu de je t'aime moi non plus, je te quitte pour te protéger, mais finalement je reviens..."

=> En ce qui concerne la promesse brisée qui tourmente Peter, ça m'a beaucoup plu à moi qu'il soit de plus en plus tourmenté par cette promesse brisée. D'ailleurs c'est très cohérent, finalement, et crédible.
A la fin de TASM, comme n'importe quel jeune lycéen, Peter décide de vivre sa vie comme il l'entend et comme le père de sa promise est mort, il n'a plus vraiment besoin de s'inquiéter de ce qu'il a pu lui promettre, il agit avant tout dans son intérêt par pur égoïsme, d'autant plus qu'elle reste une fille qu'il côtoie tous les jours et que mettre de la distance entre eux doit être particulièrement difficile.

Puiiiis, après l'exaltation des premiers moments, vient le temps de la réflexion et là, le remords le tourmente, on comprends d'ailleurs avec les dialogues qu'il échange avec Gwen que c'est un problème important et récurrent entre eux. Ça trahit quand même un certain soin à rendre cette relation réaliste, qui a gagné en maturité depuis le premier film, et, qui nous apparait, par là-même, très attachante.

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"Les apparitions fantomatiques du père de Gwen sont kitsch et inutiles, voire ridicules".

=> Les apparitions du père ne m'ont pas dérangée, perso. Au contraire, elles nous font ressentir tout le poids de la promesse brisée, avec les regards lourds de reproches du capitaine Stacy que Peter se prend de plein fouet.
Elles rendent d'autant plus terrible la mort de Gwen pour Peter, qui, du coup, à toutes les raisons de s'en sentir responsable.

La dernière apparition du père notamment, était vraiment indispensable pour moi, comme un noir présage, il apparaît comme s'il savait pertinemment ce qui allait se passer, ce qui rend Peter aussi coupable que le Goblin, aussi bien aux yeux du spectateur, que de Peter lui-même, ce qui insère un côté tragédie vraiment bienvenu.

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"Gwen n'est même pas encore sortie du lycée qu'elle bosse déjà dans une entreprise de technologie high-tech. N'importe quoi." (critique déjà présente dans le premier film, d'ailleurs)

=> Là encore n'oublions pas que nous sommes dans une adaptation de comics, qui en plus, ne cherche pas à s'en dédouaner comme a pu le faire Nolan pour sa trilogie Batman, par exemple.
Le ton de la saga "Amazing" est certes un peu plus réaliste et ancré dans la réalité que les Spidey de Raimi, mais jamais cette saga (en particulier le 2), ne pète plus haut que son cul, et n'oublie jamais ses origines cartoonesques. Les nombreuses vannes de Peter, les situations humoristiques, les méchants qui ont des attitudes outrées... Tout ça pour moi, ça doit faire partie d'une adaptation de comics, c'est primordial, je trouve même que c'est plus respectueux envers le matériau de base et les auteurs d'origine.

Alors faire de Gwen un véritable cerveau, une surdouée, experte en science, et assez mature pour bosser dans une grande entreprise malgré son jeune âge tout en s'y présentant chaque jour dans des frusques plus que sexy... (minijupe et chaussettes montantes... mmm). Pourquoi pas ?? Il ne faut pas tout décortiquer à ce point dans une adaptation de comics.

Plus que de faire de Gwen un "cerveau" (après tout, elle est loin d'être une bêtasse dans les Ultimate, ça ne fait que respecter la mythologie du perso), c'est le cliché "je dois absolument partir en Angleterre pour faire ma vie" qui m'a soulée, comme si elle n'avait AUCUN AUTRE CHOIX possible pour devenir une grande scientifique. C'est une facilité du scénar pour insérer une autre embûche dans leur relation, qui, pour moi, n'était pas forcément nécessaire. Après je sais que c'est aussi un clin d'œil à une péripétie de la BD, donc je respecte néanmoins ce choix de scénario, même si pour le coup, il insère peut-être le seul coté "cliché" dans le personnage de Gwen, qui est tout le contraire de ce qu'on pourrait attendre de la petite copine du super-héros, pour le coup : une nana intelligente, qui aide Peter à résoudre ses problèmes plutôt que d'être le boulet de service qui se fait enlever par le bad guy à la moindre occasion.

J'en profite pour embrayer directement sur la scène de sa mort, inoubliable.
Sa fin est épique. Poétique et terrifiante en même temps. Et même plutôt inédite : ce terrible claquement quand elle heurte le sol... qui laisse place à un espoir certain : on s'attend, non, on est SÛR, qu'elle va se réveiller, sourire bêtement à Peter et dire "je t'aime", mais non, la fin est brutale, et sans aucune concession. Ça m'a paru vraiment original dans un blockbuster tout public et réellement poignant, j'ai adoré le traitement qui a été réservé à la mort de Gwen, qui est surement le moment le plus beau du film, aussi émotionnellement que graphiquement parlant.

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"Les scènes avec les parents de Peter ne servent à rien, elles ne nous apprennent rien, et plombent l'histoire, alors qu'on les attendait avec impatience depuis le premier film".

=> TOUT FAUX ai-je envie de dire. La seule chose que j'ai envie d'accorder aux critiques concernant cette histoire parallèle est qu'elle instaure en effet, une certaine baisse de rythme vers le milieu du film, ce qui est assez dommage. Les scènes de début auraient peut-être suffit, en effet, il n'était peut-être pas la peine d'insister à mort sur cette histoire.
Mais l'enquête de Peter qu'il rouvre vers le milieu du film, nous permet aussi d'introduire une scène particulièrement délicieuse et touchante entre Peter et tante May où on ressent tout l'amour qu'ils ont l'un pour l'autre : le fameux "tu ES mon fils" / "je SUIS ton fils". J'ai trouvé ça vachement poignant, pour ma part.

Puis bon, cela traduit surtout l'obsession de Peter pour ses parents disparus, obsession on ne peut plus normale, après des années et des années de doute et de questionnement. Comment ne pas avoir envie de pousser plus loin l'enquête, surtout que celle-ci révèle des informations primordiales, contrairement à ce qui est souvent avancé !
En effet, cela nous permet tout de même de comprendre pourquoi "l'incident" qu'à vécu Peter avec les araignées à eu cet effet sur lui, quand ça ne marche sur aucun autre, ce qui sera d'ailleurs lourd de conséquences pour Harry Osborn. Original tout de même ! Il fallait y penser.

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Puisqu'on parle des méchants...

"Electro est mal fait, nul, sans personnalité, une simple marionnette d'Osborn, c'est un débile profond, ses scènes d'actions sont nulles.
Il devient un bad guy d'une seconde à l'autre juste parce que Spidey ne lui a pas fêté son anniversaire : n'importe quoi".

=> Pour moi, Electro est terrible du début à la fin. Chacune de ses scènes est vraiment mémorable, et malgré le fait que l'on puisse avoir peur du ridicule du personnage au vu des photos de promo, je trouve au contraire, que chacune de ses apparitions traduit une force incroyable et un certain malaise, surtout que son design est parfaitement réussi.
En ce qui concerne la psychologie de son personnage, je la trouve complexe et réussie, contrairement à ce que l'on croit. Il ne devient pas un ennemi acharné de Spidey juste parce que celui-ci ne lui a pas souhaité son anniv, faut pas exagérer non plus. =D

Au départ, avant de devenir un monstre, c'est une personnalité extrêmement fragile, que l'on sent intelligente, mais souffrant d'un terrible manque de confiance en soi. A la limite du psychotique.
On sent, à travers ses monologues (plutôt cocasses, par ailleurs) et les diverses situations dans lesquelles il se retrouve, la solitude extrême dans laquelle ce personnage vit depuis toujours. Ce n'est pas si simpliste qu'on peut le croire, même si le look de nerd à la Steve Urkel est exagéré exprès, ce genre de personnages est plutôt fréquent dans nos sociétés actuelles (pas forcement jusqu'au physique évidemment, mais nous sommes toujours dans une adaptation de comics, comme je l'ai dit ci-dessus). Des gens qui réussissent plus ou moins leur carrière professionnelle grâce à leur intelligence, mais qui sont totalement incapables de s'intégrer à cause d'une timidité ou d'une inhibition exacerbée.

Max est donc l'une de ces personnes, un type très seul, qui en est réduit à sauter de joie lorsque n'importe qui se rappelle de son prénom. Et qui logiquement, passe de la joie à l'obsession lorsque cette personne est LA star de New York, qui vient justement de le sauver et lui dit innocemment sans arrière pensée, et, le croit-il, sans conséquence : "Tu ES quelqu'un, tu es là pour m'aider". Quel genre d'impact ce genre de phrases peut-il avoir chez une personnalité profondément inhibée et ignorée (et il faut bien le dire, bien dérangée aussi) qui se SAIT invisible aux yeux du monde.
Pour la première fois de sa vie, sans doute, quelqu'UN le remarque et le REGARDE dans les yeux, et cette personne lui apparaît comme son ange gardien.

Le regard que l'on porte sur lui, d'ailleurs est déterminant dans ce film, et c'est précisément ce qui le pousse à péter un câble, ou à faire des choix irréversibles. Tout ce que Max désire ardemment dans la vie, c'est d'être VU, d'être enfin remarqué.

Et c'est là que la scène sur Time Square prend tout son impact. En quelques secondes, on assiste à une scène qui aurait pu faire de lui un super-héros à l'instar de Spider Man, mais que les circonstances font basculer inexorablement vers le côté obscur.

La scène où l'on voit son visage accolé sur tous les bâtiments de Time Square est son apogée, en tant que Max Dillon, il atteint enfin son but ultime : ÊTRE VU. Il n'a aucune mauvaise intention à cet instant précis, ce n'est qu'un pauvre type qui a subi une épreuve terrible l'ayant transformé en monstre mais, malgré tout, il est vu de tous, c'est surement l'instant le plus magique de toute sa vie.

Instant misérablement, et involontairement, ruiné par Spiderman, qui le remplace quelques secondes plus tard sur tous les écrans. Max vit cette instant comme la plus grave des insultes et des trahisons et même comme une véritable agression : son héros, son seul ami, lui vole le moment le plus beau de sa vie. Pour lui, c'est une fracture terrible, et il se met à reconsidérer le personnage de Spider-man, lui qui avait une totale confiance en ce héros, se voit alors trahir de la pire façon qu'il soit, c'est la dernière humiliation qui fait déborder le vase et donne ainsi naissance à Electro (sur une musique absolument terrible, d'ailleurs !!).
Scène magnifique donc, et véritablement lourde de sens, sur la façon dont un personnage pète un câble et passe sans espoir de retour la ligne terminatrice, vous savez cette ligne qui selon les astronomes démarque l'ombre de la lumière quand on regarde la Terre de l'espace...

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En ce qui concerne Harry/le Goblin, maintenant :

"La relation entre Harry et Peter sort de nulle part... et n'est pas crédible"
"On ne voit le Goblin que quelques secondes, lors d'une bataille qui fait vraiment pitié ! Ce n'est pas lui rendre honneur !"

Je regrette un certain manque de présence, c'est vrai qu'on le voit peu, mais je ne doute pas une seconde que son personnage sera davantage développé dans le trois.

J'ai un peu mal perçu son apparition qui tombe d'on ne sait où et surtout d'apprendre sur le même coup que c'est un ancien proche de Peter. Difficile d'y croire. Ça tombe du ciel, et rien ne nous permet de raccrocher ces deux personnages dans le passé. Où est-ce qu'un orphelin d'un milieu modeste aurait pu devenir le meilleur pote d'un gosse de millionnaire ayant passé toute son enfance dans des pensionnats privés hors de prix ?
Bref, si on ne se pose pas trop de questions sur les éventuels passés de nos deux zigues, le premier dialogue entre les deux persos réussit cependant (un peu) la prouesse de nous rendre cette relation plausible, malgré toutes ces zones d'ombre.

Dane DeHaan est terrible, avec sa face de DiCaprio maléfique, un visage de poupin quelque peu angélique, mais qui laisse percevoir des zones d'ombres, et une sourire parfois carnassier. Là aussi, on sent derechef, le personnage fragile et perturbé plus que foncièrement mauvais au départ, ce qui le met sur un pied d'égalité avec Electro. Encore une fois, Spiderman lui-même est involontairement à l'origine de son pétage de câble, ou en tout cas, fait figure de goutte d'eau qui fait déborder le vase. Ce qui rend d'autant plus logique son alliance avec Electro. Finalement ce sont deux personnages très proches psychologiquement parlant : des outsiders s'étant persuadés eux-mêmes d'avoir été trahis par leur meilleur pote.

Je n'ai pas trop envie de comparer avec la trilogie de Raimi, que j'ai appréciée par ailleurs, mais pour le coup, en ce qui me concerne, ce Goblin-là, malgré son peu de temps à l'écran, écrase, et de loin, les deux Goblins de Raimi, tant par son apparence et sa présence, excellentes, que par son implication dans la tragédie qui touche Peter.
En effet, il ne se contente pas de kidnapper vainement sa girlfriend sans qu'on ait jamais peur pour elle, il est directement à l'origine du plus grand traumatisme de la vie de Peter...

Le seul truc qui m'ait déplu concernant ce personnage à la rigueur, c'est sa fin :
Je la trouve un peu floue, incertaine, on ne sait pas trop s'il est guéri ou pas, pourquoi les effets du venin se sont estompés, il dit quelque chose comme "ça va, ça vient"... mouais, bof. C'est un peu torché à la va-vite, dommage.

Le plan sur le miroir déformé est lourd de symboliques cependant, ça par contre, j'ai adoré, ça laisse place à pas mal d'interprétations... Ça résume en peu d'effets le nouvel état d'esprit du personnage. Ça peut paraître un peu facile, je sais, le truc du miroir cassé ou déformé pour exprimer la folie, mais ça marche à tout les coups. =D

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Concernant le Rhino, pour finir:

"Le Rhino est ridicule, sacrifié, il n'a que trois minutes d'apparition à l'écran, les affiches qui le présentaient comme l'un des méchants principaux sont totalement mensongères."

Pour terminer, le Rhino... Pas grand chose à dire sur lui, à part qu'il est l'occasion d'amener quelques scènes humoristiques. Un méchant en trop diront certains, mais qui n'est pas dénué de cohérence selon moi, les scénaristes ayant pris soin de le relier à la Nemesis de Peter, à savoir Oscorp.

Contrairement à certains, j'ai beaucoup aimé que le film se termine sur un combat inachevé entre lui et Spidey, c'est une façon originale de clore un film, et une façon de dire aussi que jamais le combat de Spider-man ne finira, il est indéfiniment relié à la sécurité de sa ville. Et la façon dont il entame ce combat prouve qu'il accepte désormais pleinement cette responsabilité.
Certes, il a un rôle anecdotique, mais plus mémorable qu'on ne le croit tout de même, il boucle la boucle, tout simplement, nous permettant de commencer le film puis de le finir sur une bonne impression et un big smile.

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Voila.... d'autres critiques répétées et souvent entendues m'ont tout autant laissée pantoise, je suppose même que je pourrais écrire un bouquin sur le sujet ha ha (ce serait particulièrement indigeste vu mon peu de talent littéraire), mais je pense que je vais m'arrêter ici, afin de ne pas trop te fatiguer, cher lecteur qui a réussi par je ne sais quel miracle à parvenir à ce dernier paragraphe.

Si je devais résumer en une phrase tout ce à quoi j'ai pris la peine de répondre plus tôt... Je dirais que les détracteurs de la saga Amazing et de Marc Webb, sont tellement pris de cours devant ce très bon film, qu'ils sont obligés de chipoter sur les moindre détails pour se donner une contenance... Dommage, je regrette cette haine parfois vraiment très inquiétante envers ces deux nouveaux opus, comme s'il était impossible d'aimer les deux trilogies pour ce qu'elles sont tout simplement : deux versions différentes d'un même mythe. Tout connement. Pas besoin de les opposer sans cesse pour prouver la supériorité de l'un envers l'autre... ça relève plus de l'acharnement aveugle que du véritable sens critique. ;)

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le 6 mai 2014

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Eluria

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