Unplugged
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le 1 févr. 2019
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Il y a je crois deux manières de recevoir ce film selon l'enfance qu'on a eu.
On a vécu une enfance normale et le film peut séduire, être regardé comme un documentaire, être vu comme une ballade empathique dans un parc d'attraction dont le nom serait "pauvreté et maltraitance infantile land". Ce film a le mérite de montrer ce que vit et ressent un enfant non pas à travers le prisme de l'enfant devenu adulte comme c'est souvent le cas dans le cinéma mais celui de l'enfant drapé dans son innocence. Ce film touche au chef d’œuvre, car il pourrait servir de support éducatif et être visionné dans les familles telles que décrite dans ce film.
Soit on a subi une enfance difficile et on voit beaucoup de défaut a ce film. Une succession d'enfoncement de portes ouvertes, c'est très surligné sans subtilité et a la limite du voyeurisme. Un scénario très mince en particulier autour du personnage de la mère. Beaucoup de longueurs sur un métrage qui pourrait fondre de 30 minutes. Une photographie assez moche, comme cet objectif grand angle avec un défaut coté gauche ou la caméra à l'épaule censée donner le point de vue de l'enfant, un point pas toujours au bon endroit, pas facile de passer du smartphone à la caméra de cinéma grand capteur ?
Créée
le 29 déc. 2017
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