7
Uncharted
Avec six films à son actif en vingt-deux ans de carrière, James Gray est un réalisateur qui sait se faire désirer. Dans The Lost City of Z, Gray abandonne la jungle New-Yorkaise qu’il connaît si bien...
le 19 mars 2017
102 j'aime
12
James Gray là où je ne l'attendais pas
Dans The Lost City of Z James Gray s'éloigne considérablement de son genre de prédilection : le polar / thriller urbain.
Ça ne l'empêche pas pour autant de traiter des ses sujets de prédilections : la relation père-fils, la famille, l'héritage.
J'ai tout aimé. La photo est somptueuse, les personnages sont attachants (et pourtant je n'aime ni Patinson ni Hunnam à la base).
On vit l'obsession du personnage principal et partage son propos profondément humaniste, à contre-courant tant il est en avance sur son temps.
Je suppose que le tournage en conditions tropicales a dû induire quelques petites contrariétés techniques (un peu comme dans The Revenant), le point n'est pas toujours parfait dans l'Amazonie.
Puisqu'on parle de The Revenant que j'ai trouvé terriblement creux et surjoué, Gray trouve un juste équilibre en contemplation, émerveillement, découvertes et effroi, sans en faire des caisses comme Innaritu.
Peut-être mon préféré du réalisateur avec The Yard et Two Lovers.
8
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Les meilleurs films de 2017
Créée
le 11 avr. 2017
Critique lue 284 fois
D'autres avis sur The Lost City of Z
5
Ils avaient de belles fesses ces indiens
Je sors à l'intant du cinéma, que dire mis à part que c'était fort long pour ce que c'était. Je m'attendais à une belle aventure dans la jungle, à des découvertes d'anciennes civilisations, à trouver...
Par
le 15 mars 2017
83 j'aime
7
3
L'enfer verdâtre
La jungle, c’est cool. James Gray, c’est cool. Les deux ensemble, ça ne peut être que génial. Voilà ce qui m’a fait entrer dans la salle, tout assuré que j’étais de me prendre la claque réglementaire...
Par
le 17 mars 2017
80 j'aime
15
Du même critique
10
De gifles et de crocs
Trente-deux heures. Il m'aura fallu trente-deux heures pour arriver aux crédits de Sekiro : Shadow Die Twice. Trente-deux heures en deux jours, pour être plus précis. Je viens de vivre une tranche de...
Par
le 27 mars 2019
45 j'aime
22
8
Prendre du plomb dans le ciboulot
Relecture pulp décomplexée du précurseur des jeux d'action à la première personne - que beaucoup prétendent adorer mais auquel personne n'a jamais véritablement joué - The New Order, malgré une...
Par
le 6 nov. 2017
25 j'aime
1
9
Dans la famille des BR, je demande le plus affuté
Genre phare de 2018, mais pourtant déjà largement saturé, la famille des Battle Royale n'a cessé de s'agrandir, accueillant toujours plus de rejetons, pas nécessairement bien portants. Largement...
Par
le 12 févr. 2019
21 j'aime
6
