Une introduction violente des plus glaçante... Qui n'a rien à envier à l'horreur malaisante que nous pouvons retrouver dans les films de genre tels que Le dernier train de la nuit (Aldo Lado), I spit on your grave (Meir Zarchi) ou encore dans La dernière maison sur la gauche (Wes Craven).
The Nightingale va plus loin que le simple rape and revenge; nous sommes en Australie, plus précisément en Tasmanie dans les années 1800 en pleine colonisation/massacre des aborigènes par l'empire Britannique (de plus, le gouvernement anglais y avait fondé un camp pénitencier).
Clare une jeune esclave (ex détenue) irlandaise vient de tout perdre à cause de connards de soldats anglais. Afin de retrouver leur trace, elle va payer les services de Billy, un traqueur autochtone.
Quand nous pensons que nous avons vécu le plus effroyable lors de l'introduction et que quinze minutes plus loin on nous en remet une couche, on se dit que les deux heures quinze vont êtes très longues...
Notre retour plus complet ici:
https://lesgloutonsducinema.blogspot.com/2021/12/the-nightingale-jennifer-kent.html