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Au nom du père.
C'est con comme un mauvais résumé peut vous faire passer à côté d'un bon film. A sa sortie, les journaux avaient plus ou moins vendu le nouveau film de Derek Cianfrance comme un "Drive" à moto,...
Par
le 12 sept. 2013
86 j'aime
2
Attention, chute libre
Je suis rarement sortie si énervée du cinéma.
Ce film ou -l'art de prendre les gens pour des cons- est un véritable gâchis. C'est à peu près une heure de merveille, de transe, de montée en puissance. Suivie d'une heure vingt de catastrophe totale.
Je trouvais que l'idée de la transition subite entre deux histoires tenait du génie, que ça donnait un rythme incroyable et que du coup, le potentiel du film était doublé, voire plus.
Mais queneni ! Bien qu'il aurait dû s'en tenir à un court-métrage, ce cher Derek Cianfrance a décidé de profiter de son gros budget hollywoodien et a donc rajouté cette fameuse deuxième partie au film !
Et malgré son nom, il a bien décidé de nous prendre, nous pauvres petits français, pour des Cons.
Ce film, pour faire simple, est un condensé de toutes les plus grosses aberrations que l'on peut trouver dans le total des 8 saisons de Desperate Housewives. Seulement, est ce qu'on vient au cinéma pour voire du Plus Belle la Vie ?
Est ce qu'on vient au cinéma pour être victime d'une tentative de viol de larmes sur du Bon Iver ?
Je suis énervée. Derek m'a énervée. Le cinéma américain m'agace. Les américains avec.
Ce film ou -l'art de prendre les gens pour des cons- est un véritable gâchis. C'est à peu près une heure de merveille, de transe, de montée en puissance. Suivie d'une heure vingt de catastrophe totale.
Je trouvais que l'idée de la transition subite entre deux histoires tenait du génie, que ça donnait un rythme incroyable et que du coup, le potentiel du film était doublé, voire plus.
Mais queneni ! Bien qu'il aurait dû s'en tenir à un court-métrage, ce cher Derek Cianfrance a décidé de profiter de son gros budget hollywoodien et a donc rajouté cette fameuse deuxième partie au film !
Et malgré son nom, il a bien décidé de nous prendre, nous pauvres petits français, pour des Cons.
Ce film, pour faire simple, est un condensé de toutes les plus grosses aberrations que l'on peut trouver dans le total des 8 saisons de Desperate Housewives. Seulement, est ce qu'on vient au cinéma pour voire du Plus Belle la Vie ?
Est ce qu'on vient au cinéma pour être victime d'une tentative de viol de larmes sur du Bon Iver ?
Je suis énervée. Derek m'a énervée. Le cinéma américain m'agace. Les américains avec.
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le 9 avr. 2013
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