Au nom du père.
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Un film totalement surprenant, car il offre un véritable propos, avec son changement de point de vue. Cela démarre pendant 40 minutes de manière répétitive et donc peu intéressante pour moi. En gros, c'est Gosling qui fait de la moto et des casses, sans rien de plus. La seconde partie est un peu plus forte, mais bon au final, on n'arrive pas à rentrer dans la peau du personnage principal, même si il joue très bien. En revanche, la dernière partie tutoie les sommets, notamment grâce à immense Dane DeHaan, c'est émouvant, on est accroché, suspendu, c'est magnifique, et on comprend enfin pourquoi le film à mis autant de temps pour nous sortir ses deux premières parties,
quand le fils imagine la vie de son père, ou aussi quand il grimpe sur la moto de son père, c'est mélancoliquement et beau au possible.
Mais bon au final, c'est trop court.
Créée
le 11 oct. 2020
Critique lue 39 fois
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