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Au nom du père.
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Don't bother with rules -SURPRISE
A priori un film à scénario, dont l’atmosphère film d'auteur m'a quelque peu repoussée. Il faut dire que j'en ai ma claque des ces films a gros budget avec de grosses têtes d'affiche s’aventurant sur des sentiers beaucoup trop tortueusement raffinés pour leurs gros sabots.
De fait imaginez ma surprise dès les premiers frissons parvenus quand j'ai constaté que (grosso modo) nous n'avions non pas une, non pas 2 mais 3 strates dans ce puissant scénar, que l'homogénéité et le jeu des acteurs font bander (même si je trouve peu d’intérêt au fils Cooper) et la musique my gash !!! Elle transporte, fluide, pertinente, donnée: pareille aux vents dérangeant les pins, guidant l'atmosphère mélancolique du film par delà la toile pour venir servir nos sens.
Un dernier mot sur la confrontation finale (..vous allez devoir voir ce film pour comprendre..), c'est la où la noirceur du film atteint son climax, c'est la que se rencontrent les sentiments forts du film, ils se déchainent. Des hurts. Une violence vraie qui ne nous est pas épargnée et c'est de là qu'elle tire toute sa beauté.
Je disais "surement pas" et me voilà conquise, on dira que seuls les cons ne changent pas d'avis.
De fait imaginez ma surprise dès les premiers frissons parvenus quand j'ai constaté que (grosso modo) nous n'avions non pas une, non pas 2 mais 3 strates dans ce puissant scénar, que l'homogénéité et le jeu des acteurs font bander (même si je trouve peu d’intérêt au fils Cooper) et la musique my gash !!! Elle transporte, fluide, pertinente, donnée: pareille aux vents dérangeant les pins, guidant l'atmosphère mélancolique du film par delà la toile pour venir servir nos sens.
Un dernier mot sur la confrontation finale (..vous allez devoir voir ce film pour comprendre..), c'est la où la noirceur du film atteint son climax, c'est la que se rencontrent les sentiments forts du film, ils se déchainent. Des hurts. Une violence vraie qui ne nous est pas épargnée et c'est de là qu'elle tire toute sa beauté.
Je disais "surement pas" et me voilà conquise, on dira que seuls les cons ne changent pas d'avis.
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le 9 oct. 2014
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