The Wall par Payn

Le film est d'un ennuie mortel, le spitch de base n'était suffisant que pour un court métrage de 20min maximum, là ça s'étire sur 1h30 d'interminable et longue séquences qui reboucles sur elles même à l'infini... et ça ne raconte rien puisque les potentielles pistes de réflexion sur la guerre et le terrorisme ne sont abordés que de façon creuses. Les dialogues ont été écrit avec un générateur de mot aléatoire, de même que les personnages qui n'ont aucune constante et changent de karma d'une scène à l'autre. Je pense que le scénariste est alcoolique.

C'est tellement raté que j'ai pas les mots justes, donc pour la faire courte The Wall se résume en tout et pour tout à un G.I avec une balle dans la jambe derrière un muret dire "putain de merde ! fais chier ! salopard ! putain ! mais merde ! merde de merde ! fils de pute de merde ! va te faire foutre merde ! salaud ! putain de putain ! mais merde chier de merde ! enfoiré ! putain aie de merde ! enfoiré de salaud !" le tout en pleurnichant comme une fillette sans inspiré ni compassion, ni envie de le voir survivre. L'idée d'un soldat qui s'en veut et se fait briser psychologiquement n'est pas mauvaise sur le papier, mais à l’exécution c'est une catastrophe.

Zéro tension, zéro tactique, zéro esprit, zéro mindgame. Que dalle.

The Wall c'est deux acteurs qui surjouent du texte mal écrit, la voix off d'un arabe invisible et quasi omniscient/omnipotent qui peut réussir des tirs inhumains parce que "ta gueule c'est le script", du sable et des briques pour ne rien raconter avec une fin en queue de poisson pour se donner un genre.

A chier de bout en bout.