Il y’a deux parties dans ce film. Distincte et justement dosés. On va d’abord parler de cet enfance qui nous ai sans cesse rappelle et qui donne du sens à ce personnage. Une enfance difficile ou la violence et l’amour sont présent. Une innocence et une irresponsabilité d’enfant. Ce frère qui nous ai présentez comme dangereux alors qu’il est juste maladroit. Je vous parle de cet homme qui parce qui dans son cœur à tué son père, ne veux plus toucher d’arme et qui va décider de se battre pour son pays. Un homme amoureux qui je ne sais comment réussiras à charmer cette jolie femme et qui la feras même devenir sa fiancée. Une première partie axés sur un père violent parce que triste et d’une mère fragile qui a peur. Une partie où le passé du père nous seras expliqué et donneras du sens à sa violence. Comme si c’était tolérable. Se battre pour quelque chose, tué pour délivrer, pleurer pour s’exprimer. Le fil conducteur est donc construis, l’histoire de Desmond Doss qui veux se battre en tant qu’infirmier pour secourir ceux qui se batte avec des armes.
Alors commence la partie de l’entrainement militaire, ou je pense toute les émotions nous envahissent. On n’assiste à l’exclusion d’un homme qui n’a rien demandé et qui veux juste protéger. A l’acharnement de ses camarades et de ses supérieurs qui le maltraite et qui ne comprennent pas son obstination religieuse. On ne lui laisse aucune chance. Alors il va subir, et souffrir. Nous prenant à témoins, notre regard dans ce film changera très vite à son égard. L’affection que l’on porte à Desmond est énorme. Il n’a personne, il n’as que nous. Il est loin d’être mauvais, il est limite le meilleur. Humainement personne ne l’égal et pourtant tous porte à croire que c’est lui qui devrait prendre exemple. Ces supérieurs n’en peuvent plus. Il n’ose plus le faire souffrir car il ne lâche rien. C’est un bâtant. Il sera alors mis en prison et jugé pour non obéissance. Pourtant tous changeras lorsque la personne que l’on pensait mauvaise l’aideras à s’en sortir. Desmond est autorisé à défendre sa nation.
La deuxième partie commence. Celle de la guerre. La ou tous les visages se révèlent, ou la peur nous envahis, ou le spectateur ne veut pas voir Desmond aller. Quel grand moment de cinéma. Un champ de bataille digne d’un champ de bataille. Une reconstitution impressionnante, des décors sans fin, une atrocité sans nom, une violence beaucoup trop violente. L’enfer de l’enfer. Toute l’action est dans le rythme. Pour arriver au champ de bataille, les soldats doivent grimper à une échelle, comme si il entrer de leur pleins gré dans ce royaume sans nom. Arrivée sur ce champ puant la mort, un silence s’installe, puis une pluie d’obus, de tir, de fracas fais place. La guère commence. On sursaute, on pleure, on veut partir, on ferme les yeux, on arrête de respirer. On est sur le champ de batailles. Le temps est long, très long. Tous s’enchainent. On ne réalise pas forcément ce que l’on voit. On perd nos soldats que nous avions appris à connaître dans notre première partie. On n’a pas le temps de pleurer tellement il en tombe.
Desmond est sur ce champ de bataille, à secourir les blessés. Il court, ce protège et sauve des vies. Nous vivrons dans ce film des moments de réconciliation, des moments de paniques. Notre cœur s’emballe, c’est insupportable. Et pourtant il fait face. Lorsque tous ses camarades se replierons, Desmond resteras sur le champ de bataille et sauveras les blessés 1 par 1. Au total plus de 75 blessés sauvés. Une scène d’héroïsme pur ou la encore le suspense est à son comble. Connaissant parfaitement notre personnage, Desmond prend une valeur encore plus grande à nos yeux, il devient notre frère, notre fils que nous ne voulons pas perdre et qui nous rend fier à chaque instant. Qu’elle génie ce Gibson, nous offrir tant d’émotions en 2h15 de film ce n’est pas permis. J’ai vu ce film en VOST, ce qui m’a encore plus mis dans le film. J’ai cru pleurer 10 fois dans la même scène. Les plans s’enchaine, les travellings viennent de partout. Tout est justifié. La fin ce termine par ce reportage en couleur datant de moins de 10 ans ou l’on voit les personnages expliquer ce qu’il sait passer sur le champ de bataille, il nous explique avec leurs mot ce que l’on vient de voir. En toute humilité il nous raconte leur histoire.
Les acteurs jouent tellement bien, qu’est ce que l’on est surpris. La bande original quand à elle, que dire, je n’ai pas les mots. Ces chœurs qui accompagnent ces percussions lors des batailles. Ces violons, ces flûtes, cet orchestre ! Tous ! Ce film c’est un joyaux, une pépite, quelque chose qu’il faut voir. 4.7/5 on est sur du chef d’œuvres. Une bande annonce formidable qui nous annonce ce film sans trop nous en dire.
Tu ne tueras points c’est l’histoire d’un homme qui n’aura que Dieu comme alliés et qui va tous donner pour sauver ses frères d’armes. Ces regards de reconnaissance. Cette prière avant d’allé combattre. Cette divinité en qui l’on croit. Je ne vous conseille que trop d’aller voir ce que Mel Gibson est capable de faire. La presse est resté sur les problèmes qu’il à causé à Hollywood, d’où la note banale qu’elle lui inflige. Mais ce qu’il à crée, ce n’est pas descriptible. La force du film est cette justesse à manié correctement le souvenir, c’est cette partie que l’on consacre à ses personnages que l’on nous fera aimé et qui pourtant disparaitrons. C’est cette époque nous avons vécu il n’y a pas si longtemps.
A la semaine prochaine