Il faut que je le revoit, car malheureusement je n'ai pas su apprécier à juste titre le récit qui m'avait l'air fort puissant en émotion, parce que pendant tout le film je n'ai pas arrêté d'essayer de comprendre comment la rotoscopie a été faite. C'est débile je sais, surtout que je n'ai même pas chercher à savoir le pourquoi du comment après le visionnage du film, car finalement je m'en fout de ce souci technique. Ça a quand réussi à me gâcher peu le film.
Je viens à me demander pourquoi cette technique de la roto. La reconstitution filmique en documentaire aurait sans doute mis trop de distance avec avec la véracité du témoignage. Si c'est mal joué on y aurait pas cru. C'est là le paradoxe du dessin animé, moins c'est réaliste plus on y croit, et plus on est touché. Sauf que ici, avec valse avec bachir, la rotoscopie ne sert qu'à décalquer des prises de vue déjà réaliser. Est-ce pour donner cette dimension irréel du dessin par rapport aux images filmé et par conséquent la rendre plus vibrante plus palpable ?
Je me demande encore l'utilité de cette technique si ce n'est pour déformer la réalité et non pour la rendre plus criante. Si on à besoin de cette artifice pour arriver à sensibiliser un public, c'est beaucoup d'effort.
En tout cas voilà un film où je comprend l'utilité de la roto :
http://www.josephpierce.co.uk/filmpage.html