le 4 juin 2024
Ne pas plier
Finesse du tableau représentant de manière exemplaire les dégâts du racisme ambiant sur la communauté noire, minant le tissus social. La violence n'est jamais graphique*, toujours verbale, sans aucun...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Romance indifférente à la linéarité, écrite de manière impressionniste et juxtaposant plusieurs registres, le réalisme, l'approche documentaire, sitôt stylisé (solarisation, stroboscopie) et le réalisme magique surtout. Ce dernier aspect apparait au cours d'un récit entre copines, évoquant la rencontre énigmatique d'un poète ermite aux expressions étranges, habitant une caverne, lequel fût aperçu ultérieurement dans un contexte tout à fait banal, sur un marché.
Au travers des dialogues qui animent le couple, se fait sentir la problématique relative à l'incommunicabilité (en substance, "Qu'est-ce que tu penses de moi ?"..."que nous sommes étrangers"; puis sous l'effet d'une huile essentiel: "Quand as-tu pleuré pour la dernière fois ?"; ne sait pas quoi commander au snack et insistant poétiquement: "je ne le saurais sans doute jamais !"...).
Regard caméra, problématique décontextualisé, surgissante puis interrompue, caméra-épaule subjective chahutée par l'interlocuteur, bribes tissées de lignes narratives. Antonioni souffle à l'oreille le temps d'un chagrin d'amour. Manque un peu de matière, reste à découvrir ses longs-métrages.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Couple-Vie conjugale, Caméra épaule, Entre fiction et documentaire, Oeuvre poétique et Narration fragmentée/non linéaire
Créée
le 1 janv. 2024
Critique lue 12 fois
le 4 juin 2024
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