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La vie continue
Au delà de l'histoire d'un homme infidèle avec son ultime conquête, l'amitié qui lie sa femme (Sandrine Bonaire) et sa maitresse (Jessica Schwartz) suite à son coma est touchante. Les histoires...
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le 31 janv. 2015
Upgrade : La vie doit prendre le dessus
Une intrigue surprenante et prenante avec ces trajectoires dramatiques qui se croisent et se rencontrent, une belle image, des personnages bien campés, des acteurs superbes... j'ai marché à fond, et je me suis régalé
On pense bien sûr aux "Choses de la vie" de Claude Sautet ( adapté du roman de ), dont Franziska Buch n'a cependant conservé que l'argument de départ : un architecte quadragénaire, coincé entre sa femme et sa maîtresse, a un accident, au moment où il vient de faire une déclaration à la plus jeune (l'amante). Mais son rôle à lui ( Jean-Yves Berteloot, excellent mort en sursis ) s'arrête là : pas question de s'intéresser à ce qu'il ressent, à ce qu'il pense ; ni de lui donner la parole, encore moins de lui offrir le moindre choix.
Car le choix ( de se séparer de lui ), douloureux forcément, est évidemment de la responsabilité de "ses" deux femmes qui se découvrent, s'opposent, se cherchent ... et finissent par s'apprécier. Contrairement à Hélene Rochette, dans Télérama ( http://television.telerama.fr/tele/films/les-choses-de-la-vie,247967.php ), je n'ai pas du tout trouvé "la blonde et impérieuse Sandrine Bonnaire et la frémissante brunette Jessica Schwarz" ... stéréotypées au point d'étouffer toute émotion. La première, surtout, dont le masque d'épouse légitime, professionnelle, détachée... se déchire peu à peu et dévoile une sensibilité insoupçonnée de prime abord.
Peut être H. Rochette déplore-t-elle que la seconde ait incarné Romy Schneider en 2009, et que ce soit à elle qu'on ait donné le rôle principal ? Et à F.W. Meyer plutôt qu'à Jugnot ?
Car je la trouve particulièrement caustique et injuste dans sa critique : "Accolant ... deux intrus : un financier hautain d'outre-Rhin et un madré charcutier franchouillard (Jugnot en roue libre !), .... le scénario multiplie les clichés." Lesquels ???
"Mâtinés de réflexions sur l'être, le paraître et la réussite, les dialogues se piquent aussi de pensée profonde... "
Moi j'ai vu film fin et sensible où deux personnes en plein désarroi ( sentimental, professionnel... ) se rencontrent par hasard et s'apportent mutuellement un soutien, une oreille attentive, le sentiment d’être nécessaire, et l’espoir que la fin d’une histoire soit synonyme d’un nouveau départ.
Encore une fois, merci Arte ! http://www.arte.tv/guide/fr/046224-000/adieu-paris
On pense bien sûr aux "Choses de la vie" de Claude Sautet ( adapté du roman de ), dont Franziska Buch n'a cependant conservé que l'argument de départ : un architecte quadragénaire, coincé entre sa femme et sa maîtresse, a un accident, au moment où il vient de faire une déclaration à la plus jeune (l'amante). Mais son rôle à lui ( Jean-Yves Berteloot, excellent mort en sursis ) s'arrête là : pas question de s'intéresser à ce qu'il ressent, à ce qu'il pense ; ni de lui donner la parole, encore moins de lui offrir le moindre choix.
Car le choix ( de se séparer de lui ), douloureux forcément, est évidemment de la responsabilité de "ses" deux femmes qui se découvrent, s'opposent, se cherchent ... et finissent par s'apprécier. Contrairement à Hélene Rochette, dans Télérama ( http://television.telerama.fr/tele/films/les-choses-de-la-vie,247967.php ), je n'ai pas du tout trouvé "la blonde et impérieuse Sandrine Bonnaire et la frémissante brunette Jessica Schwarz" ... stéréotypées au point d'étouffer toute émotion. La première, surtout, dont le masque d'épouse légitime, professionnelle, détachée... se déchire peu à peu et dévoile une sensibilité insoupçonnée de prime abord.
Peut être H. Rochette déplore-t-elle que la seconde ait incarné Romy Schneider en 2009, et que ce soit à elle qu'on ait donné le rôle principal ? Et à F.W. Meyer plutôt qu'à Jugnot ?
Car je la trouve particulièrement caustique et injuste dans sa critique : "Accolant ... deux intrus : un financier hautain d'outre-Rhin et un madré charcutier franchouillard (Jugnot en roue libre !), .... le scénario multiplie les clichés." Lesquels ???
"Mâtinés de réflexions sur l'être, le paraître et la réussite, les dialogues se piquent aussi de pensée profonde... "
Moi j'ai vu film fin et sensible où deux personnes en plein désarroi ( sentimental, professionnel... ) se rencontrent par hasard et s'apportent mutuellement un soutien, une oreille attentive, le sentiment d’être nécessaire, et l’espoir que la fin d’une histoire soit synonyme d’un nouveau départ.
Encore une fois, merci Arte ! http://www.arte.tv/guide/fr/046224-000/adieu-paris
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le 31 janv. 2015
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